Tuesday, December 2, 2008

DES MILLIERS DE CONGOLAIS ENFUIENT LES COMBATS AUTOUR DE MASISI, TUTU, DE CLERCK, YADE ET KI MOON RECLAMENT L'INTERVENTION DES EUFOR A L'EST DU CN




DES MILLIERS DES CONGOLAIS ENFUIENT LES COMBATS AUTOUR DE MASISI


Kinshasa — Environ 6.000 personnes se sont réfugiées ces derniers jours dans la ville de Masisi, dans l'Est de la RD Congo, en raison des combats entre la rébellion du CNDP de Laurent Nkunda et des groupes armés Maï-Maï pro-gouvernementaux, a indiqué dimanche le porte-parole militaire de la Monuc, le lieutenant-colonel Jean-Paul Dietrich.

«Il a précisé qu' « en raison des affrontements, environ 6.000 personnes habitant les environs se sont réfugiées depuis deux jours dans le centre de Masisi où la Monuc a procédé au renforcement de ses Casques bleus». Le porte-parole a précisé que la mission dispose d'une base d'environ 120 personnes dans la ville.

«Il y a eu un survol des belligérants par hélicoptère. Nous avons envoyé davantage de patrouilles et déployé des équipements pour le cas où nous aurions besoin d'entrer en action », a-t-il encore dit.

Depuis jeudi, les troupes rebelles de Laurent Nkunda ont avancé en direction de Masisi, en s'affrontant à des milices hutu rwandaises des FDLR et des groupes armés Maï-Maï. Les rebelles du CNDP étaient positionnés dimanche dernier dans les collines qui surplombent le centre de Masisi, à 4 ou 5 kilomètres de cette localité.

Il(Nkunda) a soutenu que son mouvement ne voulait pas étendre son territoire mais mener «des opérations de police» contre les «exactions» des rebelles hutu et «le vol de bétail» par les Maï-Maï. La rébellion faisait état de la poursuite de ses «opérations policières».

Louis-Paul Eyenga Sana


DESMOND TUTU, FREDERIC DE CLERCK ET D'AUTRES PERSONALITES RECLAMENT L'ENVOI D'UNE FORCE EUROPEENNE A L'EST DE LA RD CONGO




Seize personnalités d’envergure internationale demandent l’envoi en République Démocratique du Congo d’une force européenne d’interposition pour éviter, d’après elles, un génocide du genre de celui du Rwanda en 1994. Parmi ces personnalités, deux prix Nobel de la paix, Mgr Desmond Tutu et l’ancien président sud-africain Frédéric De Clerck.

C’est pour assurer la protection des populations civiles dans la partie Est du pays que ces personnalités politiques et religieuses sollicitent, dans une correspondance adressée aux dirigeants européens, l’envoi d’une force européenne en RDC, selon une nouvelle de l’Agence France presse. Elles estiment que les combats de l’Est de la RDC ont provoqué une vraie catastrophe humanitaire. D’où l’appel de ces personnalités aux chefs d’Etat et de gouvernement européens à faire preuve de leur leadership personnel par l’envoi d'une force d’interposition. Les signataires de la correspondance estiment que le peuple congolais ne peut plus attendre. Les troupes de l’Union européenne doivent se déployer en urgence en attendant le renforcement des casques bleus qui ne pourra intervenir, selon eux, que trois à six mois plus tard.


SITUATION HUMANITAIRE, RAMA YADE EXHORTE L'OCCIDENT A SE MOBILISER POUR AIDER LA RD CONGO




Kinshasa — En séjour de trois jours en RDC, la secrétaire d'Etat française aux Droits de l'homme, Rama Yade, a exhorté la communauté internationale à se mobiliser d'urgence face à la situation humanitaire catastrophique qui sévit au Nord-Kivu».

A son arrivée dimanche dernier à Goma, la secrétaire d'Etat française, citée par l'AFP, a déclaré : «J'ai eu la confirmation de la forte dégradation de la situation humanitaire et sécuritaire au cours de derniers mois. Beaucoup d'habitants de cette partie de la RDC ont un sentiment généralisé d'abandon. La manière dont les gens se tournent vers la communauté internationale ..., c'est révélateur d'un certain état de désespoir ». Avant d'ajouter : « Je ne sais pas ce qu'il faut de plus pour que la communauté internationale réponde à l'urgence ».

Pour Mme Rama Yade, les autorités congolaises ont besoin d'un soutien encore plus fort de la communauté internationale. « L'Union européenne (UE) est très attendue ici, parce que la Monuc estime qu'en termes de matériel et d'unités combattantes, elle a besoin de renfort, et que seule l'UE est capable d'apporter cela», a-t-elle déclaré.

En outre, la Communauté de développement de l'Afrique australe (SADC), avec l'Angola, la Namibie et l'Afrique du Sud, peut jouer un rôle déterminant sur le plan politique, a soutenu Rama Yade.


Par ailleurs, la secrétaire d'Etat a dénoncé une situation catastrophique concernant les violences sexuelles à l'égard des femmes au Nord-Kivu. Profitant de son séjour au Nord-Kivu, Mme Rama s'est entretenue dimanche avec les déplacés de guerre de cette partie du pays.

En titre de rappel, les affrontements qui opposent les groupes armés dont celui du CNDP de Laurent Nkunda aux FARDC dans la province du Nord-Kivu, ont repris le 28 août dernier. Parmi les conséquences de cette guerre, figure le déplacement massif des populations civiles vers d'autres localités de la province, voire en direction des pays voisins.

Louis-Paul Eyenga Sana


BAN KI-MOON, LE SECRETAIRE GENERAL DE L'ONU, TRES FAVORABLE A L'ENVOI D'UNE FORCE EUROPEENNE



Situation dans l’Est de la RDC, le Secrétaire général de l’Onu est favorable à l’envoi d’une force européenne. Sur ce, Ban Ki-Moon a sollicité la Belgique pour faire partie de cette force d’interposition, en attendant le renfort promis sur place des 3.000 casques bleus qui va prendre plusieurs mois. Du côté gouvernement congolais, on salue la démarche de Ban Ki-Moon.


Selon Lambert Mende,le ministre de la communication et medias : Le gouvernement congolais souhaiterait que la mission de cette force soit humanitaire ou dissuasive, car nous avons été assez satisfait de la mission qui a été confiée à la force Artémis en Ituri. " Nous avons vu l’efficacité de cette force qui, en réalité, a permis à la Monuc et aux Forces armées [congolaises] de reprendre pied sur un terrain qui était très glissant du fait d’interventions qui n’étaient pas également" La Belgique a jusqu’au 5 décembre pour répondre à cette demande de l’Onu, selon le Secrétaire général de l’Onu, Ban Ki-Moon. Déjà elle ne souhaite pas y aller seule mais en bonne compagnie avec deux ou trois partenaires comme la Grande-Bretagne et la France notamment.

LES FLAMANDS: TRES FAVORABLE A L'ENVOI DES TROUPES BELGES EN RD CONGO


un soldat belge

Kinshasa — Les partis flamands sont favorables à l'envoi des militaires belges dans l'Est de la RDC. « Mais une telle initiative ne pourra être prise qu'après un débat au Parlement et moyennant un mandat fort », est-il ressorti le dimanche 30 novembre de l'émission « De Zevende Dag » sur la VRT.

« La situation dans cette région est 'affreuse' et il faut faire quelque chose », a souligné la présidente du CD&V, Marianne Thyssen. Elle se réjouit de la réponse positive qu'est prêt à donner le Premier ministre Yves Leterme à une demande des Nations unies de participer à une force de jonction en RDC.


© 2008 Sankurunews

KINSHASA D'ACCORD, LE CNDP FACHE, LE MNC/L DONNE UN CARTON JAUNE A LA MONUC ET AU GOUVERNEMENT


KINSHASA D'ACCORD, LE CNDP DE NKUNDA FACHE!


Lancée par la France en octobre et rejetée par la majorité des 27 pays membres de l'Union Européenne, l'idée de l'envoi d'une force européenne d'interposition en République Démocratique du Congo a pris un relief spécial le week-end dernier avec la sortie très médiatisée de Karel de Gucht, ministre belge des Affaires Etrangères.

Selon le chef de la diplomatie belge, le Secrétaire Général de l'Onu en personne, Ban Ki-Moon, qu'il a rencontré à New York au milieu de la semaine dernière, a sollicité le concours de son pays pour la mise sur pied d'urgence d'une telle force. Elle aurait pour mission de stabiliser la situation sécuritaire et humanitaire, en attendant le renfort de 3.000 casques bleus supplémentaires pour la Monuc. « Le déploiement de la force de la paix de l'Onu va prendre un certain temps, c'est la raison pour laquelle l'Onu souhaite qu'une force militaire européenne vienne pour faire la jonction durant la période ».

JOSEPH KABILA ET SON GOUVERNEMENT D'ACCORD POUE ARTEMIS II

Réagissant au projet du retour des troupes européennes, après l'opération « Artémis » en Ituri en 2003 (juin - septembre) et la présence de l'EUFOR (2006), le gouvernement congolais, par l'entremise du ministre de la Communication et Médias, Lambert Mende, a laissé entendre que « le gouvernement envisage favorablement une telle force Toute force qui est mise en oeuvre avec ou sans la Monuc et qui contribue à stabiliser la situation au plan national est le bienvenue ».

Selon Mende, les autorités congolaises souhaiteraient que cette force d'interposition ait un mandat comparable à celui des troupes venues à Bunia en 2003, dans le cadre de l'opération « Artémis ». En termes clairs, Kinshasa voudrait la voir faire usage de la force, comme c'était le cas d'Artémis face aux miliciens qui semaient l'insécurité en Ituri.

Quant à la future configuration de la Monuc, avec l'arrivée annoncée de 3.000 nouvelles unités, le gouvernement congolais n'y est pas très chaud, compte tenu du comportement des casques bleus du contingent indien, qu'il soupçonne d'être de mèche avec les rebelles à la solde du général dissident Laurent Nkunda. Etant donné que les troupes indiennes représentant 90 % des effectifs de la Monuc basés au Nord-Kivu, une telle méfiance pourrait créer des difficultés de collaboration dans un proche avenir.

LE CNDP FACHE DANS TOUS SES ETATS




Le Conseil National de la Défense du Peuple (CNDP) voit d'un très mauvais oeil l'envoi des troupes européennes dans l'Est du pays. Selon son porte-parole, Bertrand Bisimwa, « c'est une désagréable surprise On pensait que les Nations Unies étaient engagées dans une solution pacifique de la crise Ceci montre que la voie de la négociation dans laquelle les Nations Unies veulent nous amener est une manoeuvre qui vise à gagner du temps ».

Laurent Nkunda et ses acolytes redoutent un agenda caché de la part des Occidentaux, qui consisteraient à les déloger purement et simplement de leurs positions, sous prétexte de vouloir surveiller le cessez-le-feu et de protéger les populations civiles.


SITUATION HUMANITAIRE CATASTROPHIQUE




Dès ses premiers contacts avec des déplacés dimanche à Goma, dans le cadre d'une visite d'information de trois jours en RDC, la Secrétaire d'Etat française aux Droits de l'Homme, Rama Yade, a qualifié de « catastrophe » la situation humanitaire qui prévaut dans la partie Est du pays. Aussi, a-t-elle demandé à la communauté internationale d'agir vite.

« L'Union Européenne est très attendue ici et très demandée, parce que la Monuc estime qu'en terme de matériel et d'unités combattantes, elle a besoin davantage de renfort, et elle estime que seule l'UE est capable d'apporter cela », a-t-elle fait savoir.

LES DECIDEURS DES GRANDS LACS SE CONCERTENT

A en croire le président tanzanien, Jakaya Kikwete, des Chefs d'Etats et de gouvernement de la région des Grands Lacs vont se retrouver le 11 décembre à Nairobi pour débattre de la crise politico-militaire congolaise. C'est ce qui ressort, a-t-on appris, de ses récents entretiens avec le Secrétaire Général de l'Onu, Ban Ki-Moon. Ils devraient notamment faire l'état des lieux à la lumière des efforts de médiation de l'Envoyé spécial de l'Onu en RDC, Olusegun Obasanjo, auprès des « belligérants congolais », assisté de l'ancien président tanzanien Benjamin Mkapa, représentant de l'Union Africaine.


Kimp.


LE MNC/L DONNE UN CARTON JAUNE A LA MONUC ET AU GOUVERNEMENT


Le Mouvement National Congolais Lumumba (MNC/L) par l'entremise de son Secrétaire national a retenu deux niveaux de responsabilité face à la guerre de l'Est : il y a d'une part celle de la communauté internationale à travers les faiblesses de la Monuc et d'autre part celle du gouvernement, coupable d'un tas de maladresses.

Cette position du MNC/L a été exprimée hier lundi lors de la conférence de presse tenue aux croisements des avenues Kasaï et Haut Congo, dans la commune de la Gombe.Salumu Yamba Yamba a rappelé le scénario des années '60, avec l'Onuc. Parlant de l'Organisation des Nations Unies, il a démontre que les casques bleus n'ont jamais réussi à résoudre les problèmes sécuritaires à l'intérieur d'un Etat.

Cette impuissance est due, aux dires du Secrétaire national du MNC/L, à la nature de la Charte consacrant la naissance de l'ONU. Selon l'esprit de ce texte, les forces onusiennes ne peuvent être efficaces que dans l'optique de la guerre classique, ce qui les rend vulnérables dès qu'il s'agit d'une guérilla ou d'une rébellion. Les rédacteurs de ce texte n'avaient pas non plus réfléchi en fonction de la naissance de nouveaux Etats, faibles voire non viables.

« Le seul type de conflit implicitement envisagé par la Charte était la guerre classique entre Etats », a-t-il déclaré. Ce qui s'avère, à ce jour, un handicap sérieux lorsque les casques bleus se retrouvent en face d'un conflit non classique.
Liens Pertinents

Pour illustrer l'inopportunité de la présence onusienne, l'orateur a démontré que lorsque Patrice Emery Lumumba était révoqué illégalement avec tous les désordres qui s'étaient ensuivis, les soldats de l'Onu étaient présents. Idem quand il fut assassiné en janvier 1961, tout comme pour les sécessions katangaise et sud-kasaienne.

Conclusion : aussi longtemps que la Charte ne sera pas revue, il ne faudra pas s'attendre à un miracle de la part de la Monuc à l'Est de la RDC.



© 2008 Sankurunews

Monday, December 1, 2008

JOSEPH KABILA EXTERMINE LE PEUPLE CONGOLAIS ET EXPLOITE LES MINERAIS CONGOLAIS AU SERVICE DE SES FRERES ET ALLIES




UNE MARMOTTE AU SERVICE DE SES CHEFS POUR L’EXTERMINATION DU PEUPLE CONGOLAIS

Par Willy Fram Mbiyyah ( Toutou )
E-mail : toutou@udpsonline.com


Nous sommes peinés et voire très surpris quand nous constatons qu’il y a de ces congolais qui jouent par mégarde et ignorance le jeu de cet enfant de la rue (Kanambe ) arrivé au pouvoir pour avoir liquidé son père adoptif non seulement pour jouir de la plénitude du pouvoir congolais mais aussi pour arriver au finissage de la partition du grand CONGO de Lumumba , l’ultime objectif de son rôle primordial

Combien des fois dirons –nous et redirons que Kabila et N’kunda sont des frères siamois et ils jouent tous au même jeu pour la même cause .

Avec cet enfant soldat à la tête de notre pays , le CONGO serait en perpétuel danger de mort et ce qui nous convient en premier lieu , c’est de travailler tous pour l’élimination de ce Rwando- Tanzanien , cet enfant soldat (Kanambe ) et la guerre de l’Est s’arrêtera de soi-même et le Personnage créé de toute pièce par les multinationales et certains lobbies pour sucer et piller les richesses du Congo , nous avons cité Batware N'kunda disparaîtra de lui même sans autre forme de procès . Ainsi les pauvres citoyens , notre population de l’Est vivra en paix et pour toujours.

Nous avons lu avec surprise sur le net un titre intitulé : Génocide en RDC : silence inquiétant de Kinshasa sorti dans un journal réputé Pprdiste dont son administrateur est marié au Pprd pour les meilleurs et pour les pires nous avons cité le Potentiel . Nous lui souhaitons bonne chance . Qu’il soit de ce parti politique de tueurs , voleurs , pillards et violeurs , ce n’est pas notre problème, il a fait son choix et il en rendra compte le moment venu au peuple congolais . L’ exemple du tout puissant journal mobutiste Salongo est encore frais dans nos mémoires .

Ce qui nous tique et attriste , c’est quand il veut faire croire au peuple congolais que le silence inquiétant de ces soit-disants officiels sur le génocide dans notre pays commence maintenant . Cela s’appelle de la malhonnêteté intellectuelle ou alors de la complicité à outrance . Le silence et la complicité de Kabila sur le génocide et massacre de notre population a toujours été manifeste avant et depuis son accession de la manière que nous connaissons tous à la tête de notre pays .

Rappelons –nous du massacre de Tingi-Tingi entre 1996-1997 ou des milliers et de milliers de Hutu Rwandais avec un important nombre de nos populations fuyant la guerre d’occupation ont été massacrées par les troupes de l’Afdl sous la direction de Kanambe Hyppolite alors chef d’état major terrestre .

Rappelons-nous aussi , pas plus tard que hier du massacre organisé du mouvement politico-religieux Bundu dia Kongo dans le Bas-Congo parla milice Kanambiste

ou plusieurs fosses communes ont été découvert sans que ce garçon (Kanambe ) sans expérience et maturité politiques mais excellent en essai-erreur ne dise mot.

Aujourd’hui , il se passe au Kivu une destruction méthodique de tout un peuple , de toute une race , par Nkunda et kabila réunis en esprit et en action .Et penser que kabila et toute cette bande de brigands , criminels politiques rassemblés au Sénat et au Parlement peuvent lever leurs petits doigts pour dénoncer ces actes de barbaries que Kabila et N’kunda commettent en longueur des journées. Ce seraient de rêveries pures et simples . Qui ignore aujourd'hui que la milice de Kabila aussi vole , viole et pille ?

On ne peut que rester dubitatif devant le « scoop » de Human Rights Watch qui dénonçait, le 25 novembre, les abus du régime de Kabila : Dans l’indifférence de la communauté internationale, le régime du président congolais Joseph Kabila mène depuis deux ans une « répression brutale », avec plus de 500 opposants tués et un millier d’arrestations. Après les élections de 2006, « largement financées par des bailleurs de fonds internationaux », les partenaires étrangers de la RDC « se sont employés à gagner les faveurs du nouveau gouvernement de Kabila et ont gardé le silence sur les atteintes aux droits de l’homme ». Les rapports de l’ONU sur « ces crimes à motif politique ont été délibérément enterrés ou publiés trop tardivement », estime encore Human Rights Watch. Le message est adressé à la « conscience occidentale » pétrie « d’humanisme », cette même conscience qui a amené au pouvoir le tyran actuel et qui est responsable du génocide des Tutsis dans l’indifférence générale et surtout dans le refus de désigner les responsables occidentaux maîtres d’oeuvre de cette boucherie. Le chef de la diplomatie française a estimé, vendredi 31 octobre, que l’est de la RDC était le théâtre d’un « massacre comme il n’y en a probablement jamais eu en Afrique qui est en train de se dérouler presque sous nos yeux, avec plus d’un million de réfugiés, avec des attaques très précises, des mutilations sexuelles qui font partie des actes élémentaires de la guerre dans cet endroit ».

Le 31 octobre 2008, Alan Doss, chef de la Mission de paix de l’ONU en République démocratique du Congo (Monuc), avait pourtant tiré la sonnette d’alarme : « J’espère que nous recevrons des renforts le plus rapidement possible afin que nous puissions remettre le processus de paix sur les rails ». Il semble que ces propos, pourtant inquiétants, n’aient trouvé aucun écho au sein de l’organisation des Nations unies. Le Conseil de sécurité et l’Union européenne ont refusé de fournir les renforts réclamés ! Dès lors, comment peut-on espérer que les troupes de l’ONU s’opposent aux « exactions graves contre des civils, y compris des exécutions sommaires » qui ont été rapportées, jeudi soir, 6 novembre, à la porte-parole de la mission de l’ONU en RDC. L’ONU, semble reproduire l’inertie et l’autisme qui ont permis les massacres du Rwanda. La leçon n’aurait-elle pas porté ? Pourquoi, cette insoutenable légèreté, dans quel but ?

Au fait , on comprend quand on se fait bander les yeux avec plus ou moins cinq mille dollars américains qu’on touche au Sénat sous le dos du peuple meurtri ! Nous y reviendrons avec large détail et revenons au margoulin politique Hyppolite Kanambe alias Joseph .

Tout ce sang coulé dans la culture africaine est symbole de libération et pour que cette dernière arrive au Congo de Kasavubu , il nous faut procéder par faire disparaître en supprimant l’existence du mal et le mal en soi c’est Kanambe alias Kabila , c’ est la seule solution rapide qui nous reste . et pour cela nous sommes dans l’obligation de marcher dans la convergence la plus absolue. Kabila doit partir et tous les moyens sont bons pour cela .

C’est alors qu’il ceserait de marmotter . Il fait notre honte et nous en sommes malades .

Plus vite serait le mieux !

Très chers Compatriotes , notre peuple est pris en otage par des gens audacieux , hardis, et téméraires , des personnes sans scrupules moraux ; d’intrigues et anormaux. Ils doivent subir le même sort que leur maître et nous devons nous en débarrasser.

Nous sommes convaincus que c’est pour bientôt la fin de ce système médiocre et corrompu installé en Rdc le pays de nos ancêtres .

Encore un peu de temps et c’est dans peu de temps .



JOSEPH KABILA ET SES ALLIES RWANDAIS OU D'AILLEURS EXPLOITENT LES RESSOURCES MINIERES CONGOLAISES


Pour comprendre de quoi il s’agit, suivons Jean-Philippe Rémy du journal Le Monde « Depuis 2006, écrit-il, le petit conflit du Nord-Kivu donnait l’impression de ne jamais devoir sortir des collines de la région. C’était mal se souvenir que les deux Kivus, Nord et Sud, bordés par le Rwanda, l’Ouganda et le Burundi, constituent la matrice des guerres régionales. Par deux fois, ces conflits ont commencé par l’éclosion de rébellions d’ambition apparemment locale avant que l’implication des pays voisins ne finisse par les transformer en guerres transfrontalières. En 1996, une insurrection de Banyamulenge, membres de la communauté tutsie du Sud-Kivu, avait été le prélude au premier conflit. Cela se passait deux ans seulement après le génocide des Tutsi par les Hutu au Rwanda, de l’autre côté de la frontière. Au Kivu, dans l’est de l’actuel Congo (alors appelé Zaïre), des camps de réfugiés hutus, ayant fui l’arrivée au pouvoir des Tutsi à Kigali, servaient de bases arrière aux "génocidaires" exilés qui comptaient revenir au Rwanda pour y "terminer le travail". Les Banyamulenge, Tutsi congolais, semblaient, eux aussi, menacés par les Hutu. Ils ont donc pris les armes au Kivu. Dans ce sillage a surgi un mouvement nébuleux, appuyé par des pays voisins, qui allait entamer une conquête du pays et chasser le maréchal Mobutu du pouvoir, à Kinshasa, en 1997. Deux ans plus tard, un phénomène similaire se reproduit. En 2006, le Tutsi Laurent Nkunda, fonde le Congrès national pour la défense du peuple (Cndp), parrainé par le Rwanda. Il s’agit de se battre pour chasser les rebelles hutu de leurs bases arrière au Kivu. Le Cndp se réarme à cet effet, et se renforce en ouvrant notamment des centres d’entraînement. Mais le chef de la rébellion tutsi semble élargir ses ambitions. Début octobre, il affichait ainsi sa volonté de libérer le peuple du Congo ».

Le « général » Laurent Nkunda n’est pas un inconnu. C’est, écrit Michel Collon, un Tutsi congolais engagé dans l’armée de Paul Kagamé (actuel président du Rwanda) en 1994 dans sa lutte contre les génocidaires Hutus. En 1998, il rejoint au Congo la « rébellion » pro-rwandaise. Il a commis plusieurs crimes de guerre avant d’être intégré dans l’armée congolaise, selon les accords appliqués à partir de 2003. Mais, en 2004, il entreprend une mutinerie contre le gouvernement congolais. Le Rwanda nie appuyer Nkunda. (..)Laurent Nkunda est financé par des hommes d’affaires proches de Paul Kagame tels que les frères Alexis et Modeste Makabuza et l’homme le plus riche du Rwanda, Tribert Rujugiro. Il est approvisionné en hommes et en matériel par l’armée rwandaise à travers l’Ouganda, allié du Rwanda durant la guerre d’agression contre le Congo en 1998-2003. Les richesses locales du Kivu permettent aux milices, au Rwanda et à l’Ouganda de financer l’instabilité et l’insécurité. Cette situation n’est possible que grâce à la complicité tacite de la Monuc (Mission des Nations unies), des États-Unis et des Etats membres de l’Union européenne.(4) « Derrière ces ambitions politiques se profilent surtout les tensions entre le Congo et le Rwanda. (...) Mais le Kivu - tourné vers l’est plus que vers la lointaine Kinshasa, gorgé de richesses minières et de terres arables qui font défaut à ses voisins - aiguise les appétits. Le Rwanda et l’Ouganda, par lesquels transitent les minerais exploités au Kivu, rêvent toujours de l’inclure dans leur zone d’influence ».(3)

Nous y voilà ! Les guerres ethniques ont probablement joué un rôle. Ces guerres ont été attisées par le colonialisme qui alimente les deux camps en armements contre des promesses d’exploitation de richesse comme au bon vieux temps des colonies sauf que tout se fait à distance. L’analyse suivante nous permettra d’y voir un peu plus clair. « D’un pillage à un autre...Qu’y a-t-il de changé depuis le bon roi Léopold ? Que se cache-t-il derrière votre téléphone portable, votre ordinateur ou votre console de jeu ? Une guerre. Une guerre terrible, qui s’éternise. Une guerre parmi les plus meurtrières que l’on ait connues. Une guerre qui apparaît le plus souvent, pour le grand public, comme de type tribal, où il n’y aurait rien à comprendre, sinon des affrontements interethniques aveugles, comme l’Afrique a pu en donner maints exemples. C’est tout juste si l’on n’en reste pas aux images d’Epinal coloniales ou postcoloniales. Et puis, c’est si loin... »(5)

« Une guerre pour des matières premières dont regorge le Congo. Une guerre que se livrent un grand nombre de multinationales, qui bénéficient de la complicité de leurs pays d’origine. La plus prisée est le fameux Coltan, un minerai indispensable à la production des téléphones mobiles, de certains ordinateurs et des consoles de jeux. Une guerre par chefs locaux interposés, dont les conséquences sont vécues dramatiquement par la population (cortège d’atrocités, personnes déplacées), dans un Etat qui ne fonctionne plus, dont on comprend pourquoi son dysfonctionnement peut profiter aux groupes prédateurs qui mettent en pièces les richesses de ce pays, qui a tous les atouts pour être un des pays les plus riches d’Afrique, mais dont certains groupes ont intérêt à prolonger la déshérence. Comme souvent pendant la belle époque de l’ère coloniale, on attise les rivalités latentes, on encourage en les armant les groupes rivaux, on entretient les conflits, on souffle sur les braises, on trouve de l’aide auprès des chefs de guerre locaux, on les instrumentalise, on paie bien, on crée un rideau de fumée. On entretient à grand frais une force onusienne qui ne sert à rien. Ainsi, tout le fructueux commerce de matières premières peut mieux passer inaperçu derrière la scène des passions déchaînées et les horreurs qui vont finir en dernière page de la presse quotidienne ».

Une commission d’enquête mandatée par les Nations unies vient tout de même de dénoncer les liens entre le commerce de ce minerai et les importations illégales d’armes dans la région. Voici ce que disait déjà, le jour de Noël 1999, l’évêque de Bukavu, Mgr Kataliko : « Des pouvoirs étrangers, avec la collaboration de certains de nos frères Congolais, organisent des guerres avec les ressources de notre pays. Ces ressources, qui devraient être utilisées pour notre développement, pour l’éducation de nos enfants, pour guérir nos malades, bref, pour que nous puissions vivre d’une façon plus humaine, servent à nous tuer. Plus encore, notre pays et nous-mêmes sommes devenus un objet d’exploitation. Tout ce qui a de la valeur est pillé, saccagé et amené à l’étranger ou simplement détruit. Les impôts collectés qui devraient être investis pour le bien commun, sont détournés ».

AGRICULTURE AU CONGO-KINSHASA: 700 TRACTEURS ET 3,200 VELOS POUR LA LUTTE CONTRE LA FAMINE




LUTTER CONTRE LA CRISE ALIMENTAIRES: 700 TRACTEURS ET 3,200 VELOS


Kinshasa — La crise alimentaire mondiale préoccupe au plus haut niveau les gouvernements de différents pays du monde. En République démocratique du Congo, le ministère de l'Agriculture est déterminé à promouvoir le secteur agricole, en vue de faire face à cette situation.

La crise alimentaire qui menace tous les pays du monde continue à susciter les débats. La République démocratique du Congo n'est pas en marge de cette situation. Raison pour laquelle, le gouvernement cherche à tout mettre en oeuvre pour épargner sa population contre les conséquences néfastes de cette crise.

Parmi les missions assignées au gouvernement Muzito, le président de la République, Joseph Kabila, a, dans son dernier message à la nation, insisté sur l'amélioration du vécu quotidien des populations congolaises. C'est dans cette optique que le nouveau ministre en charge de l'Agriculture, Norbert Basengezi, accorde une place de choix à cette recommandation.

A ses yeux, l'agriculture doit demeurer « la priorité des priorités en RDC ». Une façon pour lui de combattre la faim qui tenaille la quasi-totalité des Congolais.

Dans la journée du vendredi 27 novembre dernier, le ministre de l'Agriculture s'est entretenu avec les responsables de confessions religieuses de la capitale. Leur entretien a porté essentiellement sur la nouvelle vision que son ministère compte mettre en application pour soulager tant soit peu, la misère des populations congolaises.

A cette même occasion, le ministre a annoncé l'arrivée imminente d'un lot de sept cents tracteurs agricoles à Kinshasa. Lesquels seront dispatchés dans toutes les provinces du pays.

Pour le ministre, les Eglises ont un rôle non négligeable à jouer dans la société. Raison pour laquelle, il a invité les hommes de Dieu à conscientiser leurs fidèles sur l'importance de l'agriculture dans la vie courante.

A ce sujet, l'homme d'Etat congolais a fait remarquer que si chaque chrétien pouvait produire «quelque chose» dans son rayon d'action, la RDC sera à l'abri de la crise alimentaire qui menace la planète. Et d'ajouter qu'à la différence d'autres pays du monde, «le Congo-Kinshasa a l'avantage d'avoir un sol très riche qui ne nécessite pas parfois l'emploi d'engrais chimiques.

Tout en saluant l'initiative prise par le ministre, les responsables des confessions religieuses ont, par le truchement de Mgr Simon, le porte-parole des églises indépendantes, promis de transmettre le message à qui de droit, c'est-à-dire aux chrétiens de leurs églises respectives.

Cela, avant de promettre leur soutien à l'initiative du nouveau ministre de l'Agriculture qui s'inscrit dans le cadre de «cinq chantiers de la République».

Albert Tshiambi




TROIS MILLES DEUX CENTS VELOS POUR LES 750 SECTEURS ET CHEFFERIES DU PAYS

3200 vélos, à raison de 4 par secteur et chefferie, ont été mis à la disposition des gouverneurs de provinces en séjour à Kinshasa. Le ministre de l’agriculture, qui a présidé la cérémonie de remise, a indiqué que ce premier lot permettra aux agents relevant de son secteur de passer d’un village à un autre pour assurer l’assainissement des rues et la bonne tenue des activités champêtres.

Par ce geste, Norbert Basengezi Katintima entend restaurer la politique de proximité dans le cadre de la lutte contre la famine. Le ministre de l’agriculture est convaincu que, si ces moyens de locomotion sont utilisés à bon escient comme à l’époque, la R.D.C passerait l’année prochaine de 10% de terre arable à 45%



© 2008 Sankurunews

Wednesday, October 22, 2008

LE PRESIDENT JOSEPH KABILA ET SONT CLUB RWANDAIS, DEVENIR VULNERABLE OU INVULNERABLE, QUI A BU BOIRA ET QUI VIVRA VERRA



JOSEHP KABILA ET SONT CLUB RWANDAIS


Joseph KABILA et Georges W. BUSH
à Washington

De qui est le nouveau président de la République Démocratique du Congo, Joseph Kabila, Comment s'est-il élevé au pouvoir? Est-il vraiment le fils de Laurent Kabila ? Pourquoi Laurent Kabila a-t-il été assassiné et par qui ? Ce qui est du rapport de Joseph Kabila avec les grands pères blancs Belges qui, par le passé, ont gouverné cette colonie ? Les jours de Joseph Kabila sont-ils à compter?

En mars 2007 les militaires et les forces de sécurité soutenant le nouveau Président élu, Joseph Kabila en République démocratique du Congo, ont combattue les supporteurs défenseurs du fortuné challengeur de Kabila, Jean-Pierre Bemba avec un visage innocent, un gamin terriblement gâté avec une armée rebelle, qui cherchait à renverser Kabila avec un prétendu coup d’état.

KABILA OU KANAMBE?

La plupart des personnes croient que son vrai nom n'est ni Joseph ni Kabila. Le journal télégraphe de la Grande-Bretagne, et d'autres, ont rapportés que, Joseph Kabila était un conducteur de taxi en Tanzanie, mais d'autres disent qu’il est venu du Rwanda. Les supporteurs de Kabila indiquent qu'il est né au Congo. Selon quelques sources fiables, le vrai nom de Joseph Kabila est Hippolyte Kanambe. Demandé d'où Joseph Kabila est venu, Janet Kabila a refusé de répondre.

Jean-Pierre Bemba a exploité la question d'origines de Joseph Kabila sous le slogan « Bemba : Congolais de cent pour cent. » Bemba a fait des discours du pharisaïsme nationaliste qui ont causé des émeutes terribles à Kinshasa par ses supporteurs. Beaucoup de congolais disent aujourd'hui que les origines de Joseph Kabila sont sans importance : Le sujet important qu’ils indiquent, un bon leadership et une bonne gestion. Cette réponse découle des corrompus, des nantis, et des congolais de souche, mais pas des congolais natifs.

Laurent Désiré Kabila, le supposé père du, maintenant Président Joseph Kabila, était une épine pour le Président Mobutu pendant les décennies de la première ère du règne de Mobutu. En 1996, Laurent Désiré Kabila a été plumé hors d'une barre à Dar es Salaam, où il était propriétaire/directeur, et installé comme figure de proue ou en tant que porte parole de l'alliance des forces démocratiques pour la libération du Congo Zaïre (ADFL) et il déjoua le général André Ngandu Kisase le 8 Janvier 1997. Par l’instigation de Laurent Désire Kabila, le porte parole du groupe AFDL, le leader du CNRD (Conseil National de Résistance pour la Démocratie) fut assassiné dans des conditions mystérieuses par une embuscade au parc de virunga. Le différend qui opposait le chef militaire Tetela avec L.D. Kabila, soutenu par les Tutsi congolo-Rwandais, pourtant que celui-ci était le partisan de la réduction de l’influence des Rwandophones sur le mouvement AFDL. Aussi son exécution était entraîné par le fait qu’il (Ngandu Kisase) rappelait chaque fois a LD Kabila qu’il était le porte parole du mouvement et non son président. LD Kabila n’a pas digéré cet acte de rappel et il déjoua ce combattant avec la complicité des Tutsis et de Paul Kagame.

Il y a une autre version qui atteste que André Kisase Ngandu était assassiné par l’ordre direct de Paul Kagame auprès des officiers de l’armée patriotique rwandaise et des hommes servant dans l’armée du FPR. Cet assassinat était planifié par James Kabarebe et Jack Nziza parce que André Ngandu Kisase était opposé aux massacres des réfugiés Rwandais dans le territoire congolais.

Affiché par les fonctionnaires d'administration de Bill Clinton comme Madeleine Albright, Susan Rice, Prudence Bushnell, et Anthony Lake ont soutenu le choix de Laurent Kabila et la guerre avait commencée.

Laurent Kabila a fourni la face réelle de la rébellion à la presse occidentale, et ils ont à plusieurs reprises invoqué le fantôme de Che Guevara, qui a brièvement combattu au côté de Kabila, « le vétéran de la guérilla de gauche». Dans les années 60. Kabila avait étudié à l'université du Dar es Salaam à côté du Président Ougandais Yoweri Museveni, John Garang de l’Armée Populaire de Libération au Soudan, et Wamba dia Wamba, du Rassemblement Congolais pour la Démocratie (RCD) le chef rebelle de Kisangani, R D Congo.

L'insurrection d'ADFL a commencé en 1996 par le Président rwandais Paul Kagame écrasant des camps de réfugiées à l’est du Zaïre pour la violation des statuts internationaux de droits de l'homme humanitaires. Les Rwandais (RPA/F) et Ougandais (UPDF) ont balayés à travers Le Zaïre derrière le masque d'une lutte de « libération ». Les centaines de milliers d'hommes innocents, des femmes et des enfants, tous des réfugiés hutus qui fuyaient le coup d’état des RPA/F supporté par les Américains au Rwanda. Ils ont été souvent chassés et massacrés par les RPA/F qui continuaient avec la campagne génocidaire contre des Hutus qui a commencé en 1990. Les « kadogos » utilisé par ADFL - des enfants armés du RPA/F et de l’UPDF sont mis à l'avant pour les tires de l’avant. Les peuples Congolais ont souffert des atrocités indescriptibles et des déprédations.

Laurent Kabila a été prétendument tenu derrière les lignes du front pendant la campagne d'ADFL pour renverser Le Zaïre. Le Général rebelle Rwandais Laurent Nkunda supporté par le Rwanda qui, à ce moment-ci continue à déstabiliser et piller au nord Kivu, était un dirigeant junior de RPA/F du Rwanda qui menait la charge auprès des commandants Paul Kagame, James Kabarebe, et James Kazini et leurs conseillers militaires américains. Et de là était le jeune homme qui est maintenant président de la République Démocratique Du Congo, Joseph Kabila Kanambe, de son vrai nom Hippolyte Kanambe.

«Joseph Kabila était un soldat pour Paul Kagame, » un nouvellement élu député congolais dit en l'avril 2007. « Il a travaillé pour Le Rwanda et les rebelles de RPA. Il était dans la guerre [1996-1997] du Rwanda à Kinshasa, du Kivu à travers Kisangani, où ils ont tué tous les Hutus, par Equateur à Mbandaka. Il était là dans Mbandaka quand tous les Hutus étaient massacré tous à travers Le Congo, il était là. Il était avec le Général Nkunda à Kisangani aussi. Il était un ami du Général Salim Saleh, le demi-frère de Museveni, et avec colonel Mayombo, maintenant un général en Ouganda.”

Laurent Kabila a rejeté le programme planifié par les gurus. Les attaques contre Laurent Kabila a augmenté directement en proportion à sa résistance aux directives des grands pères blancs à l’occident et de leurs agents Africains. Au début la résistance de Kabila s’est traduite aux menaces contre son gouvernement qui a semblé couché dans la langue des droits de l'homme. Les massacres commis par les forces de RPF/A et d'UPDF contre les foules, comme elles ont marché à travers Le Zaïre et soudainement devenu le problème de l'armée de libération d'ADFL- « Kabila ». Comme si les RPF/A et les UPDF n'étaient jamais impliqués. Des rapporteurs spéciaux ont été dûment expédiés au Zaïre pour étudier les squelettes de la crisse du parti de Kabila. Les massacres des centaines de milliers de réfugiés hutus rwandais forcés de s’envoler devant la machine des tueries de RPA/UPDF, soudainement devenus de dignes nouvelles pour la diffusion, et le mot génocide tremblota un moment et puis disparaîtra de la vue. À la fin cependant, tout massacre a été blâmé sur l'ADFL en écartant les rôles joués par le Rwanda, l'Ouganda, et les USA et de tous les conseillers militaires Israéliens et des agences du Pentagone fournissant des logistiques.

Tandis qu' encouragé et canonisé pour évincer Mobutu juste une année plus tôt (1997), Laurent Désire Kabila était bientôt déclarés un « dictateur » parce qu'il a orienté Le Congo sur une course indépendante. L D Kabila a jeté dehors le Rwanda, l'Ouganda, Bechtel, la Banque Mondiale et le FMI, et c’est ainsi qu’a commencé la « guerre de l’occupation. » De 1998 à 2000 le gouvernement de Laurent D. Kabila allié avec l'Angola, le Tchad, la Namibie, le Soudan (Khartoum),la Libye et le Zimbabwe; l'Afrique du Sud a joué les deux côtés.

Khartoum joint la guerre parce que le gouvernement Ougandais et les États-Unis supportaient l'Armée Populaire de Libération du Soudan de John Garang dans le sud du Soudan, comme ils soutiennent aujourd'hui des rebelles dans la guerre que les États-Unis poursuivent à Darfour. Environ 700 rebelles Ougandais LRA ( L’ Armée de Résistance du Seigneur ou the Lord’s Resistance Army) ont combattu pour Kabila. L’Armée de Résistance du seigneur est une faction rebelle Ougandaise soutenue par Khartoum que Museveni pendant 20 ans est allé au devant pour justifier l’augmentation des scandales d'aide pour armes (non rapportés) et le génocide perpétuel d'UPDF contre les peuples Acholi dans la région garnie du pétrole et nordique en Uganda.
Laurent Désire Kabila a été assassiné le 16 Janvier 2001, exactement 40 ans moins un jour après l'assassinat de Patrice Lumumba. C'était un message clair : non seulement nous tuerons ceux qui ne coopèrent pas, mais aussi nous pouvons le faire quand et où nous aimerions. Joseph Kabila « assumera » la présidence le 26 janvier 2001 et il est demeuré président pendant toute la période de transition (2002-2006).

De 1998-2004 des innombrables contrats miniers et d’abattage des arbres ont été laissés sans transparence et sans responsabilité. En attendant, la guerre a fait rage au Congo-Kinshasa, tuant des millions, des territoires dépeuplés, et fournir des centaines de millions dans les bénéfices et du quote-part du marché pour le secteur « humanitaire » occidental d'affaires, a.k.a. l'industrie de misère, et la raquette internationale des mines terrestre.

Parmi les nombreuses personnes ayant été impliquées en République Démocratique du Congo sont les ressortissants belges comme Louis Michel, Étienne Davignon, Philippe de Moerloose et André Flahaut, et les ressortissants des États-Unis comme Henry Kissinger, Bill Richardson et Maurice Tempelsman. Les intérêts de la famille royale de la Belgique sont également impliqués. L'intervention et le pillage prédateurs de telles personnes est rendue invisible par la pression internationale de la « communauté » -, groupes de réflexion, organismes non gouvernementaux, instituts de politique étrangère et particulièrement par académies -e.g. anthropologie, relations internationales, science politique, et départements des affaires africaines.

Louis Michel est commissaire de l'UE pour le développement et AIDE humanitaire, une position de portier qui assure que les millions de personnes congolaises souffrent misérablement. Louis Michel a été l'un des alliés les plus forts de Joseph Kabila, et il a joué un rôle crucial dans la campagne électorale 2006 à la victoire de Joseph Kabila. Avant sa position dans l’UE (Union Européenne), Louis Michel était un parlementaire belge, un ministre et un vice premier ministre, jusqu'en 2004. Il est déclaré marchand de diamant exploitant la région riche de Tshikapa en République Démocratique du Congo. Louis Michel a également des contacts pour les diamants Congolais par la Société Minière De Bakwanga (MIBA), un soutien principal de néocolonialisme belge au Congo-Kinshasa; Le fils de Louis Michel est prétendument impliqué directement à la MIBA

Immédiatement après l'assassinat de Laurent Kabila le 16 Janvier 2001, alors le ministre Belge des affaires étrangères Louis Michel avait rapidement confirmer la participation du chef de l'armée de Kabila pour détourner l’attention de l’ évident coup d'état : l'assassinat de Laurent Désire Kabila. Le magnat homme d’affaires belge vicomte Étienne Davignon est président du conseil d'administration des directeurs de S.N. Lignes aériennes de Bruxelles, qu'il a cofondées après la faillite de Sabena, la ligne aérienne nationale belge qui a porté Patrice Lumumba à la porte de sa propre mort en 1961 et embarque les minerais pillés du Congo-Kinshasa et les transportent en dehors du Rwanda (1998-2005) pour les marchés internationaux en partenariat avec le régime de Kagame. Davignon est également un membre du conseil de nombreuses compagnies belges, et un ancien directeur d'Anglo-American Corporation, le grand conglomérat de extraction d'Oppenheimer/DeBeers fonctionnant en RD Congo en partenariat avec G.H.W. Bush connecté avec Barrique Gold Corporation. A 2001, une enquête que le parlement belge a conclu, Étienne Davignon a joué un rôle important et actif dans l'assassinat de Patrice Lumumba, comme Maurice Tempelsman, Étienne Davignon a été profondément impliqué dans le coup d'état occidental qui a mis Joseph Mobutu au pouvoir, et l'a gardé là.

De 1989 à 2001, Étienne Davignon était Président de la banque belge « Société Générale de Belgique », un des ennemis les plus durables et les plus perfides de l'état congolais. Des centaines de milliards de dollars de minerais ont été pillées par la Société Générale de Belgique par sa filiale majorité possédée, l'union Minière du Haut Katanga (UMHK) - la compagnie d'exploitation de la famille royale belge qui a exploité le cuivre, le cobalt, l'étain , l'uranium et le zinc du Congo de 1908, et plus tard est devenu GECAMINES, la compagnie d'exploitation paragouvernemental « contrôlé » par Mobutu et sa clique plus étroite y compris ses alliés occidentaux. Les États-Unis avaient acheté l’uranium de la société UMHK de la mine de Shinkalobwe et plus tard utilisé pour bombarder Hiroshima et Nagasaki au Japon. GECAMINES a été apparemment utilisé par le parti politique de Joseph Kabila, Parti du Peuple pour la Reconstruction et le Développement (PPRD – comme un véhicule pour le financement du parti.

Étienne Davignon était un directeur de Kissinger Associates, une firme de consultations d'intelligence et de défense établi par Henry Kissinger, dont la liste des associés notables inclut l'ancien ambassadeur de l'ONU du Président Clinton, Bill Richardson qui a mis un visage « humanitaire » sur l’invasion du Zaïre par les USA (1996-1998). Henry Kissinger est sur le bureau du Comité international de délivrance(International Rescue Committee), une éminente agence humanitaire de secours en République Démocratique du Congo, et l’une des raisons qui entraînent que le nombre des morts est si élevé.

Étienne Davignon est également un directeur des sciences de Gilead, une compagnie de « biotechnologie » dont les anciens directeurs incluent Donald Rumsfeld (1988-2001). Les directeurs de Gilead incluent aujourd'hui George Shultz, un directeur de Bechtel et anciens Secrétaire d'état Américain; Carla Hills, directeur international de groupe de crise et architecte de NAFTA ; John Madigan, un ancien directeur de Tribune Compagnie (mass media et nouvelles ) et membre courant du conseil d'affaires de la défense des États-Unis Département de la défense ; et Nicholas G.Moore, un autre directeur de Bechtel, et un ancien Président Directeur (CEO/Chairman) de PricewaterhouseCoopers de 1994-2004. Les sciences de Gilead ont été impliquées dans la crise de « Tamilflu ».

Le groupe international de crises (ICG) est une organisation critique avec un front «humanitaire» qui serre l’ordre du jour de la sécurité nationale des États-Unis. L'ICG amorce les médias internationaux avec des rapports annuels de la politique suprématiste des blancs au Congo-Kinshasa, en Ouganda et au Soudan (Darfour) ceci n’a jamais adressé la violence structurale soutenue par l'exploitation occidentale en Afrique. L’ICG et le Comité International de Délivrance (International Rescue Committee) sont deux des principaux organisateurs et des entités de direction derrière la coalition Anglo-Europeenne, la Coalition Globale d'Action du Congo (“Congo Global Action Coalition – individuellement décrite comme « Alliance Globale des Droits de l'Homme, ambiants humanitaires, et des organismes foi basés, des étudiants, des membres de la Diaspora congolaise, et d'autres mouvements de bases.»
PricewaterhouseCoopers (PWC) est impliqué dans la mine de niobium de Lueshe dans la province du Nord Kivu en République Démocratique du Congo, une mine actuellement gardée sans accès possible et « baignée du sang » par le Général Rwandais Laurent Nkunda, soutenu par le Rwanda et « Seigneur des Guerres » a l’est de la RD Congo, afin de rehausser le prix de niobium dans les marchés internationaux. Le Belge Étienne Davignon est également conseiller spécial du commissaire de l'UE pour développement, Louis Michel.

Le Belge Philippe de Moerloose, un membre de l'élite de Kinshasa, approvisionne des jets (Avions), des hélicoptères et d'autres jouets présidentiels à Joseph Kabila. La société Demipex de De Moerloose' basée à Bruxelles, Kinshasa et Lubumbashi s'occupe des équipements et des logistiques et il est le distributeur unique de Nissan en République Démocratique du Congo. Sa firme des Services de Sécurité d'Outre-mer est responsable des atrocités contre les Congolais désespérés dans les concessions de diamant tenues par MIBA. MIBA est soi-disant $US 100 millions endettée, avec un certain $US 20 millions dû à De Moerloose. La compagnie d'aviation Belge de De Moerloose, lignes aériennes de Demavia, en partenariat avec les lignes aériennes basées en République Démocratique du Congo, Hewa Bora Airlines, est accusée d’avoir transporté des cargaisons d’armes vers la RD Congo. Les compagnies de De Moerloose ont servi d'intermédiaires embarquant des hélicoptères entre la société Française Aeromechanic Corporation et la société Britannique Hélicoptères Ltd de Sloane à Air Katanga, une firme congolaise contrôlée par d'autres notables ressortissants belges.

Philippe de Moerloose a des contacts d'affaires avec des compagnies reliées à George Forrest, un soutien principal de l'exploitation en République Démocratique du Congo depuis 1922 ; De Moerloose opère également au Rwanda et Burundi, le mettant dans des relations d'affaires entre les deux côtés de la guerre au Congo/Kinshasa. Les véhicules de De Moerloose vendus au Rwanda et au Congo sont utilisés par les forces armées, et De Moerloose (2002) a confirmé que le ministère rwandais de la défense a fait des achats directement de ses compagnies. Paul de Moerloose, un frère, marié a Marie-Pierre Pairoux, de la famille riche française de Pierre Pairoux, famille partenaire des entreprises de George Forrest.

Patrick de Moerloose a vécu au Katanga dans la zone de copperbelt pendant 30 ans, et a été accusée du vol de coltan et de cuivre de Gécamines, le géant exploitant miniers congolais. Des compagnies de De Moerloose sont censées être impliquées dans la contrebande illégale de diamant, du cuivre et de cobalt pour l’extérieur de la République Démocratique du Congo. Philippe De Moerloose est également impliqué dans la vente des armes vers l'Angola.

ARMES ET INTELLIGENCE POUR KABILA

André Flahaut, ministre belge de la défense, a provoqué une rangée en Belgique après la promesse pour l’invitation du Président Joseph Kabila à Bruxelles pour l’obtention d’un diplôme du Doctorat ; Docteur honorifique de l’ Académie Royal Militaire (Ecole Royale Militaire) en Bruxelles. Flahaut a annoncé la nomination de Kabila pendant une visite à Kinshasa en février 2007. Environ 300-500 éléments congolais (militaires)- des dirigeants et instructeurs ont été envoyés à l’ Académie Royal Militaire Belge pour la formation militaire en 2004. La France a reçu 10 personnels de FARDC, La Chine 20, et L'Afrique du Sud 200.

Environ 500 éléments de la force de l’Union Européenne de Communauté EUFOR sont arrivés à Kinshasa en juin 2006, envoyé pour assurer la réussite de la campagne électorale. Notamment, des équipements ultramodernes Robocop fourni pour renforcer les forces congolaises de sécurité à l'appui du processus électoral sont maintenant utilisées contre les congolais privés des droits civiques dans les concessions d’abattages des arbres, des mines, des diamants et des plantations contrôlées par les occidentaux.

Joseph Kabila est marié à Sandrine Nguesso, la fille de Dennis Sassou Nguesso, Président du Congo-Brazzaville. Il y avait seulement deux hommes blancs, selon les sources dignes, qui ont assisté au mariage de Joseph Kabila : Il y avait le magnat diamantifère Israélien Américain Dan Gertler, nouveau roi de diamant du Congo, et l'autre était le magnat homme d'affaires belge, Philippe de Moerloose. La France a des contacts très étroits avec le Président Sassou Nguesso et Omar Bongo du Gabon, tous les deux ont soutenu Jean-Pierre Bemba et son père.

Il est à noter qu'une délégation angolaise de haute puissance ait visité Kabila à Kinshasa le 14 Mars 2007, quelques jours justes avant la bataille mortelle menée les Gardes Républicains de Joseph Kabila contre les forces Jean-Pierre Bemba. La délégation a inclus les militaires, la police et les fonctionnaires angolais supérieurs d'intelligence. Tandis que l'ordre du jour se concentrait sur des incursions militaires angolaises dans le territoire de la République Démocratique du Congo, occupant environ 11 villages congolais dans des secteurs riches en diamants, les militaires angolais ont soutenus la guerre imminente avec Jean-Pierre Bemba et ils ont certainement décidés. Les membres de l'opposition congolaise affiliés avec Jean-Pierre Bemba se plaignaient au sujet des incursions angolaises, mais le gouvernement de Joseph Kabila était insouciant au sujet de la présence angolaise sur le sol de la République Démocratique du Congo.

UNE PAGE NON TOURNEE

Avec l'aide de ses « amis » en coulisses, Joseph Kabila avait manœuvré Jean-Pierre Bemba pour gagner les élections nationales historiques de 2006, la première soi-disant élection démocratique congolaise depuis la prétendue indépendance en 1960. Deux seigneurs de guerre Kabila et Bemba concurrençaient pour être le nouveau visage noir du Congo présenté au monde par les grands pères blancs Euro-Anglais. Comme des institutions académiques et des départements d'études africaines a travers l'Amérique et l'Europe, les prétendus « droits de l'homme » et de lustres « organismes humanitaires », ignorent ou masquent complètement les réalités de la manipulation et du contrôle occidental. Les médias rapportent des lignes des corporations, pleines des virus de tribalisme et de sauvagerie et d'éboula.

Plusieurs de ces mêmes familles qui sont derrière des entreprises coloniales européennes sont enracinées dans l'esclavage, suprématie blanche et terreur sont derrière les Seigneurs des Guerres aujourd'hui en République Démocratique du Congo. Les soutiens principaux de l'exploitation, comme les intérêts d'anciens barons belges ou des ministres des colonies, qui se morphe dans des entités de corporation plus insidieuses. Les nouveaux joueurs ont délogés quelques intérêts, comme les Israélien Américains qui s'occupent des diamants du sang par les échange de diamant de Tel Avive (Tel Aviv diamond exchange) avec l'appui de la Maison Blanche. Et maintenant La Chine est profondément impliquée dans l'effilochure, mais c'est une autre histoire, une autre page non tournée, et une histoire cachée à excaver de la décombre de L'Afrique Centrale.

On a souvent affirmé que Joseph Kabila, qui il peut être n'a aucun choix que d’assumer la position qu’on lui a confiée Président de la République Démocratique du Congo. Pour que Joseph Kabila se plaigne, se contrarie ou résiste aux machinations de la puissance d’une manière ou d’une autre, selon les gens proches de lui, voudrait dire, sa mort est plus certaine .

DEVENIR VULNERABLE OU INVULNERABLE, QUI BU BOIRA ER QUI VIVRA VERRA

Pour ce qui concerne du pouvoir de Joseph Kabila, ceux qui l’ont amené au pouvoir sont encore très actifs, le Rwanda et l'Ouganda sont justement placés au front. Ils reçoivent des instructions et des recommandations, vis-à-vis de la République Démocratique du Congo de Washington, de Londres, de Paris, et de Berlin directement ou indirectement. Ils n'ont aucun pouvoir eux-mêmes, en raison de la complexité de la situation congolaise. Chaque concerné a ses enjeux propre a lui en République Démocratique du Congo. Il a toujours été ainsi depuis la création de l'état libre du Congo a travers les douloureuses années de la colonisation jusque maintenant. Le Congo a toujours été placé comme un véhicule utilitaire, un entrepôt d'approvisionnement de toutes pièces (matières premières) pour faire roulé l’économie des superpuissances. Pour une solution durable et adéquate pour l’intérêt de la nation et du peuple congolais, la population doit prendre leur destin en mains et se prendre en charge pour contrarier l’exploitation absurde des ressources naturelles par les pays prédateurs. Les RD congolais doivent s’appliquer minutieusement comme ils ont fait pour acquérir l’indépendance politique.

Mobutu était la marionnette de l'occident, Kabila est également la marionnette de l'occident. La différence entre les deux, Mobutu était devenu marionnette directe de l'occident et il a eu le mot de passe qui a plus tard été confisqué. Il n'a pas dû passer par des intermédiaires pour s’approvisionner auprès des fabricants, mais plutôt, Joseph Kabila doit toujours passer par la Chine, le Rwanda, l'Ouganda, et l’Angola pour atteindre Washington, Londres, Paris, Moscou, et Berlin. Mobutu n'était pas une simple marionnette, mais aussi une marionnette très puissante parmi les marionnettes. Kabila n'a pas encore atteint ce niveau.

Kabila n'a jamais eu aucun sentiment pour le peuple congolais, il s’attelle qu’au pouvoir par tous les moyens possibles. Il n’a aucun intérêt d’améliorer les conditions sociales et économiques du pays pour des raisons simples à raisonner. Les enjeux politiques de Joseph Kabila c’est le pouvoir, pour toujours. Il doit laisser la place à Paul Kagame, James Kabarebe, Laurent Nkunda pour exploiter les minerais congolais comme ils sont venus tous du même club. Tous sont des Rwandais venus avec LD Kabila pour ôter le pouvoir au Maréchal Mobutu. Il n’y a pas une rébellion en République démocratique du Congo, mais plutôt une agression par le Rwanda et ses allies occidentaux. Ni Paul Kagame, ni Laurent Nkunda, moins encore Hyppolite Kanambe alias Joseph Kabila, personne est Congolais. La soi-disant rébellion de Nkunda est financée par Kabila, le Rwanda, et le Burundi entretenu par les superpuissances Il sait tout au sujet de cette guerre sans fin. Aussi longtemps ou Joseph Kabila n’a rien à s’inquiéter à Kinshasa, il n'y a aucune guerre, quand il a des ennuis, la guerre commence et recommence sans cesse. C'est un jeux d’amusement, ce n'est pas une guerre; c'est un instrument, un outil pour effaroucher les congolais avec comme objectif, feindre pour devenir conciliateur. La guerre à l’est du pays est utilisée pour semer une confusion totale et obliger les congolais à se mobiliser autour du raïs. Celui-ci veut contrôler et évaluer la confiance que les congolais en disposent vis-à-vis de son pouvoir et pour leur faire unir autour de lui..

En ce moment-ci, les congolais se préparent pour des nouvelles élections générales en 2011. Kabila n'a rien accompli jusque là, il ne mérite et ne méritera rien de leur voix. Il a passé tout son temps en suçant le sang de ses pauvres adversaires qu’il a fait succomber et il consolida son pouvoir. Le cas de Bemba est sanglant ; c’est une mutinerie qui a été provoqué pour s’en débarrasser de certains dirigeants de l’opposition qu'il n'aime plus. Il organise un soi-disant coup d'état contre soi-même pour hisser sa popularité. Le pays est tombé dans la corruption profonde, le détournement des fonds du trésor public, des arrestations arbitraires, des séquestrations, des verdicts dictés, des faux emprisonnements et des exécutions sommaires. En résumé, mieux vaux vivre pendant la période du règne du Maréchal Mobutu que de vivre sous le règne de l’imposteur Kanambe Hyppolite. Les congolais vivent à la période paléolithique. Ils meurent à une grande échelle même par une simple fièvre faute des médicaments et des soins appropriés. Les médicaments vendus sur le marché sont tous expirés et ont été rejeté de leur pays d'origine Le dollar américain est devenu leur monnaie courante. Ils achètent et vendent en dollar américain. Le Franc Congolais sert de papier décoratif

La République Démocratique du Congo n'a pas des routes, n’a pas d’électricité dans les milieux ruraux, mais le pays exporte l’électricité à l’étranger. Dans les milieux Urbains, le délestage est quotidien. Il n y a pas de l’eau potable. Le pays présente à désastre partout, y compris Kinshasa, la capitale. Les parents prennent en charge la scolarisation leurs enfants à l'école primaire et secondaire. L'alphabétisation est en décroissance, elle se trouve au niveau de l’avant l'indépendance. Les fonctionnaires publiques sont impayés avec des arriérées d’au moins 6 mois. Les médecins, les infirmiers, les professeurs d’universités, des enseignants du primaire et secondaire n’ont pas des salaires décents pour leurs permettre a nouer les deux bous du mois. Tous ils grèvent au quotidien et crèvent de faim. Il y en a de ces congolais qui vivent d’un dollar américain par mois.

Avec ce portrait sombre et tous ces décombres qui peut élire encore Kabila au Congo ? Personne, mais sauf sa clique étroite, ses complices et les corrompus. Mais combien sont-ils ? Ils sont qu’une petite minorité, moins d'un pour cent de la population, mais on se demande, pourrait-elle, cette minorité offrir la victoire a Joseph Kabila en 2011 ? Il nous semble impossible de toute manière, mais dans ce cas-ci, que fait-il pour se maintenir au pouvoir? Il doit manoeuvrer et farder les élections comme il l'avait fait la fois dernière. Quelle sera la meilleure manière de tricher les élections? Il devrait créer les poches de tensions partout, à l’intérieur du pays et les maintenir ou entretenir. Aussi longtemps ou il y aura des tensions par-ci par-là, il sera impossible d’organiser les élections en 2011. Partout, a l’est du Congo, il y a des poches permanentes des tensions, particulièrement Goma, Rutsuru, Masisi, Bunia, Butembo, Lubero, Wamba, Isiro, Bukavu, Kindu, Ubundu, Kisangani, Haut Wele, Bas Wele, Aketi, Bumba, Banalia, Bafwasende, Est Katanga, Kalemie, Manono, et Ankoro. Dans les dernières élections, Kivu lui-même comme secteur lui a donné la victoire absolue. Quelle situation chronométrique qui régnait au Kivu? Plus pure qu'aujourd'hui, il a demandé à ses compatriotes du club rwandais pour faire taire leurs canons momentanément afin que les élections aient lieu, vulnérable ou invulnérable, comme on a toujours dit, qui a bu boira, Il a fait la première fois, il le fera encore une fois. Il a triché les élections de 2006, il trichera encore celles de 2011 avec l’aide de ses allies. Qui vivra verra.



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UN FILS DU SANKURU, SHE OKITUNDU , REMET UN DON D'EQUIPEMENTS SPORTIFS AU REAL CLUB IMPACT DE BARUMBU


LEONARD SHE OKITUNDU, LE SENATEUR DE KATAKO-KOMBE, REMET UN LOT IMPORTANT DES EQUIPMENTS AUX JEUNES SPORTIFS DE BARUMBU.


Le sénateur de Katako-Kombe, dans le district du Sankuru Léonard She Okitundu a procédé samedi 19 octobre 2008 au stade Olsen de la commune de Barumbu à la remise d'un lot important d'équipements sportifs composés des bottines, des vareuses et autres accessoires, aux jeunes footballeurs de l'équipe Réal Club Impact du président Jean-Marie Moyenge. Cette émouvante cérémonie s'est déroulée en présence des responsables de l'Amicale des dirigeants des clubs et associations de football de Barumbu (ADICAFB », de nombreux sportifs locaux après une partie fort mouvementée entre le FC Barumbu et FC Mbwila, en marge du tournoi de solidarité organisé par les dirigeants sportifs de Barumbu.

Prenant la parole en cette circonstance, le sénateur She Okitundu qui est redescendu à sa base pour encourager la jeunesse sportive a souligné qu'il s'agit-là d'un premier geste pour honorer cette équipe qui accède à la division d'élite de l'Epfkin alors que les moyens et équipements lui faisaient défaut. Real Club Impact qui regorge de jeunes talents est une équipe promise à un bel avenir d'autant que certains joueurs de cette jeune équipe pourront, un jour, être retenus dans la sélection nationale.

Le sénateur She Okitundu a promis de moderniser le stade « Olsen » en le dotant des gradins et de venir à la rescousse de 22 équipes de football de l'entité administrative de Barumbu dont certaines sont démunies. Après le football, il s'est engagé à venir en aide aux jeunes sportifs qui pratiquent le judo.

Outre sa contribution dans le domaine sportif, She Okitundu a dit à sa base qu'un programme de réhabilitation de l'avenue Itaga pour désenclaver les communes de Barumbu, Kinshasa et Lingwala serait à l'étude à la suite de son initiative. Les jeunes sportifs de Barumbu ont réagi à cette généreuse initiative du sénateur She Okitundu. Jean-Marie Moyenge, président de l'équipe de football Réal Club Impact, a reconnu qu'à travers la remise de ces équipements sportifs, qu'ils sont honorés outillés et sont désormais mieux outillé pour s'épanouir. Les jeunes de Barumbu parmi lesquels regorgent beaucoup de talents, n'oublieront pas ce geste significatif du sénateur She Okitundu. « Cet acte qui améliore l'image de Barumbu et va promouvoir le football dans cette entité administrative, ne sera pas le dernier du sénateur She Okitundu », a renchéri le président de Réal Club Impact.



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Tuesday, October 21, 2008

MUZITO 1: LES CHOSES SERIEUSES ONT COMMENCÉ, MAIS SONT ELLES VERS UN GOUVERNEMENT GIGANTESQUE?



LES CHOSES SÉRIEUSES ONT COMMENCÉ!


Prospérité


Les ultimes réglages ont lieu aujourd’hui. Adolphe Muzito qui a rencontré, le dimanche dernier, le Président Kabila, pour la 4ème fois depuis sa nomination, est tenu de le revoir ce mardi, dans la journée. Si tout va bien, c’est ce mercredi que les choses sérieuses commencent, avec la publication de son équipe gouvernementale. Ainsi, les affaires courantes auront-elles cessé d’être expédiées par les intérimaires.

Au fond, des questions de format et de répartition des postes ministériels au sein de partis membres de la coalition ont été réglées. Seules quelques divergences résiduelles liées notamment, au profil des noms proposés au regard de responsabilités à assumer, continuent à passer au prisme des ultimes tractations.

Le toilettage ou, mieux, l’arbitrage, ce sont des termes utilisés pour indiquer la trajectoire empruntée pour arriver au terme de cet âpre exercice. Les vues consultées des Chefs des Partis ont permis à Adolphe Muzito de soumettre au Président Kabila, le 19 octobre dernier, la première mouture de son équipe. Une nouvelle rencontre, la cinquième du genre, est projetée pour aujourd’hui, dans la journée. Il s’agira de tabler sur la mouture revue et corrigée. Et donc, d’arracher le dernier quitus du Président de la République, avant la publication de la nouvelle équipe gouvernementale annoncée, pour ce mercredi.

Normalement, le petit grain de sable qui a failli se glisser dans la machine, a été écarté. Les ambitions des uns et autres auraient trouvé des réponses au sein de la famille présidentielle. Tout a été dit. Le Pprd, le parti majoritaire dispose de 13 postes, le Palu 3, l’Udemo 2 et le Mouvement Social pour le Renouveau 2.
L’équipe gouvernementale qui comprendra entre 43 à 45 membres pourrait également être constituée des membres issus des autres petits partis de la coalition. Les personnalités indépendantes engagées aux côtés du Président Kabila lors des élections 2006, seront, à leur tour, intégrées.

Dans sa configuration, cette équipe verra une série de ministres et vice-ministres du Gouvernement sortant revenir aux commandes. Pour autant que Muzito dépend du choix des Chefs des Partis dont la plupart refusent, du reste, de céder le tablier.
Des noms avancés

Dans le box de Vice-Premiers Ministrables, trois noms reviennent sur toutes les lèvres. Denis Kalume Numbi, pour des Questions politiques, Défense et Sécurité. André-Philippe Futa, pour des Questions Economiques et Financières. Et, enfin, Nzanga Mobutu, pour des Questions Sociales et Culturelles.

Du côté de Ministres, Athanase Matenda se maintient aux Finances. Olivier Kamitatu, José Endundo, Jean-Claude Muyambo et Pierre Lumbi gardent leurs postes. Tandis que certains seront permutés. Tous les Ministres du Palu seront reconduits, avance-t-on, de source crédible. La liste de ceux qui restent au gouvernement est tellement longue qu’il serait illusoire de miser sur un changement notable des personnes.
Le vrai tonus, pour ce nouveau gouvernement en gestation, est attendu du Premier Ministre, lui-même. Là où son prédécesseur n’a peut-être pas su géré ou communiqué, Adolphe Muzito, 51 ans, doit surprendre. Son dynamisme et sa ferveur sont des atouts nécessaires à la réalisation des missions lui confiées.

Le discours du Président aidant, il n’a pas droit à l’erreur. Les jours lui sont désormais comptés. Il sera jugé sur pièces !

LPM


MAIS SONT ELLE VERS UN GOUVERNEMENT GIGANTESQUE?


Le gouvernement que va bientôt diriger Adolphe Muzito serait composé de 45 membres provenant des différentes formations politiques se réclamant de la coalition majoritaire. C'est ce qui ressort des tractations qui se sont déroulées durant le week-end entre le premier ministre récemment nommé et les états majors principaux de ce regroupement politique.

Mais seulement voilà ! Si le nombre de 45 membres paraît éléphantesque et budgétivore pour un pays à la recherche des capitaux frais pour appuyer sa reconstruction et son développement, la répartition des quotas a failli mettre le feu à la baraque de la famille politique présidentielle.

On rapporte ainsi que dès l'annonce des quotas réservés aux différentes formations politiques les plus en vue au sein de l'Alliance, notamment 13 postes au PPRD, 3 au Palu, 2 à l'Udemo et au MSR, les autres formations politiques non retenues sont montées au créneau pour réclamer leur part du gâteau sinon promettre d'appuyer la motion de défiance à l'issue de la présentation du programme gouvernemental à l'assemblée nationale.

Mais au-delà de cette lutte de positionnement, la question qui se pose est celle de savoir si le pays a besoin d'un gouvernement éléphantesque et budgétivore au moment où ses ressources en recettes fiscales, administratives, domaniales et autres vont subir le contrecoup de la récession résultant de la crise financière qui sévit dans les Etats les plus industrialisés du monde, étant donné que l'économie de la RDC est extravertie parce qu'essentiellement basée sur l'exportation et la vente des produits miniers.

REDUIRE LE TRAIN DE VIE

Selon le décret du premier ministre sortant, chaque cabinet ministériel est composé de 60 membres, parmi lesquels des conseillers, chargés de missions et personnel d'appoint. A la primature, le nombre est estimé à plus d'une centaine tandis que celui alloué à la présidence de la République relève du domaine du secret d'Etat. On sait aussi que les deux chambres du parlement utilisent un personnel pléthorique à côté des membres des cabinets dont le nombre varie à la tête du client. Bref, voilà pourquoi les dépenses politiques et de souveraineté sont souvent exorbitantes alors que des secteurs sensibles sont négligés, notamment l'administration publique, l'enseignement, la santé, les sports, l'armée et la police

Par ces temps de reconstruction, la sagesse devrait pousser les plus hauts responsables du pays à limiter le nombre des membres du gouvernement et celui de leurs cabinets respectifs. Ce serait faire des économies qui seraient reversées dans les secteurs sensibles. Qui oublie que dans le souci de privilégier la reconstruction après la rébellion muléliste de 1961-64, le premier ministre Moïse Tshombé avait mis en place un gouvernement de 11 ministres, lui-même s'étant réservé le poste de ministre des Affaires Etrangères ? Dans la même lignée, le gouvernement de Salut Public d'Etienne Tshisekedi issu de la Conférence Nationale Souveraine comportait 22 ministres, soit deux par provinces, lui-même inclus.

Il suffit de regrouper certains ministères tels les Travaux Publics avec celui de l'Habitat et Urbanisme, les Affaires Sociales avec les affaires humanitaires, l'Energie avec les Hydrocarbures, le Tourisme avec l'Environnement et la Conservation de la Nature. La RDC n'a pas besoin de ministères comme celui des Relations avec le parlement, celui des Congolais de l'Etranger, celui du Genre et Famille et celui des Droits Humains. Les deux derniers pourront être transformés en Hauts Commissariats dirigés par des bureaux dont les mandats seraient rotatifs et ne seraient composés que par des délégués des ONG de développement et de défense des Droits de l'Homme.

METTRE FIN AU REGNE DES MINISTRES INAMOVIBLES


Au nom de la bonne gouvernance et de la transparence dans la gestion de la chose publique, dans un communiqué rendu public hier la VSV « soutient qu'il importe d'observer absolument les critères objectifs de gestion pour éviter la récidive afin de garantir le rendement du nouveau gouvernement ». Autrement dit les ministres sortants devraient présenter chacun le bilan de sa gestion et de faire l'objet d'une évaluation et d'un audit pour une sanction en cas de manquement ou enrichissement illicite. Ceux des ministres ayant fait l'objet d'une interpellation à l'assemblée nationale et dont la prestation avait été peu satisfaisante devraient être remerciés sans autre forme de procès.

Cette Ong de défense des droits de l'homme estime que le premier ministre Adolphe Muzito devrait privilégier les nouvelles énergies en mettant fin au règne des ministres inamovibles même s'ils sont des chefs des formations politiques. Il faudra recourir aux personnalités intègres qui font preuve de compétences éprouvées et qui respectent les droits de l'homme devenus l'une des conditions inévitables pour bénéficier des investissements extérieurs.

F.m.



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