Monday, December 1, 2008

JOSEPH KABILA EXTERMINE LE PEUPLE CONGOLAIS ET EXPLOITE LES MINERAIS CONGOLAIS AU SERVICE DE SES FRERES ET ALLIES




UNE MARMOTTE AU SERVICE DE SES CHEFS POUR L’EXTERMINATION DU PEUPLE CONGOLAIS

Par Willy Fram Mbiyyah ( Toutou )
E-mail : toutou@udpsonline.com


Nous sommes peinés et voire très surpris quand nous constatons qu’il y a de ces congolais qui jouent par mégarde et ignorance le jeu de cet enfant de la rue (Kanambe ) arrivé au pouvoir pour avoir liquidé son père adoptif non seulement pour jouir de la plénitude du pouvoir congolais mais aussi pour arriver au finissage de la partition du grand CONGO de Lumumba , l’ultime objectif de son rôle primordial

Combien des fois dirons –nous et redirons que Kabila et N’kunda sont des frères siamois et ils jouent tous au même jeu pour la même cause .

Avec cet enfant soldat à la tête de notre pays , le CONGO serait en perpétuel danger de mort et ce qui nous convient en premier lieu , c’est de travailler tous pour l’élimination de ce Rwando- Tanzanien , cet enfant soldat (Kanambe ) et la guerre de l’Est s’arrêtera de soi-même et le Personnage créé de toute pièce par les multinationales et certains lobbies pour sucer et piller les richesses du Congo , nous avons cité Batware N'kunda disparaîtra de lui même sans autre forme de procès . Ainsi les pauvres citoyens , notre population de l’Est vivra en paix et pour toujours.

Nous avons lu avec surprise sur le net un titre intitulé : Génocide en RDC : silence inquiétant de Kinshasa sorti dans un journal réputé Pprdiste dont son administrateur est marié au Pprd pour les meilleurs et pour les pires nous avons cité le Potentiel . Nous lui souhaitons bonne chance . Qu’il soit de ce parti politique de tueurs , voleurs , pillards et violeurs , ce n’est pas notre problème, il a fait son choix et il en rendra compte le moment venu au peuple congolais . L’ exemple du tout puissant journal mobutiste Salongo est encore frais dans nos mémoires .

Ce qui nous tique et attriste , c’est quand il veut faire croire au peuple congolais que le silence inquiétant de ces soit-disants officiels sur le génocide dans notre pays commence maintenant . Cela s’appelle de la malhonnêteté intellectuelle ou alors de la complicité à outrance . Le silence et la complicité de Kabila sur le génocide et massacre de notre population a toujours été manifeste avant et depuis son accession de la manière que nous connaissons tous à la tête de notre pays .

Rappelons –nous du massacre de Tingi-Tingi entre 1996-1997 ou des milliers et de milliers de Hutu Rwandais avec un important nombre de nos populations fuyant la guerre d’occupation ont été massacrées par les troupes de l’Afdl sous la direction de Kanambe Hyppolite alors chef d’état major terrestre .

Rappelons-nous aussi , pas plus tard que hier du massacre organisé du mouvement politico-religieux Bundu dia Kongo dans le Bas-Congo parla milice Kanambiste

ou plusieurs fosses communes ont été découvert sans que ce garçon (Kanambe ) sans expérience et maturité politiques mais excellent en essai-erreur ne dise mot.

Aujourd’hui , il se passe au Kivu une destruction méthodique de tout un peuple , de toute une race , par Nkunda et kabila réunis en esprit et en action .Et penser que kabila et toute cette bande de brigands , criminels politiques rassemblés au Sénat et au Parlement peuvent lever leurs petits doigts pour dénoncer ces actes de barbaries que Kabila et N’kunda commettent en longueur des journées. Ce seraient de rêveries pures et simples . Qui ignore aujourd'hui que la milice de Kabila aussi vole , viole et pille ?

On ne peut que rester dubitatif devant le « scoop » de Human Rights Watch qui dénonçait, le 25 novembre, les abus du régime de Kabila : Dans l’indifférence de la communauté internationale, le régime du président congolais Joseph Kabila mène depuis deux ans une « répression brutale », avec plus de 500 opposants tués et un millier d’arrestations. Après les élections de 2006, « largement financées par des bailleurs de fonds internationaux », les partenaires étrangers de la RDC « se sont employés à gagner les faveurs du nouveau gouvernement de Kabila et ont gardé le silence sur les atteintes aux droits de l’homme ». Les rapports de l’ONU sur « ces crimes à motif politique ont été délibérément enterrés ou publiés trop tardivement », estime encore Human Rights Watch. Le message est adressé à la « conscience occidentale » pétrie « d’humanisme », cette même conscience qui a amené au pouvoir le tyran actuel et qui est responsable du génocide des Tutsis dans l’indifférence générale et surtout dans le refus de désigner les responsables occidentaux maîtres d’oeuvre de cette boucherie. Le chef de la diplomatie française a estimé, vendredi 31 octobre, que l’est de la RDC était le théâtre d’un « massacre comme il n’y en a probablement jamais eu en Afrique qui est en train de se dérouler presque sous nos yeux, avec plus d’un million de réfugiés, avec des attaques très précises, des mutilations sexuelles qui font partie des actes élémentaires de la guerre dans cet endroit ».

Le 31 octobre 2008, Alan Doss, chef de la Mission de paix de l’ONU en République démocratique du Congo (Monuc), avait pourtant tiré la sonnette d’alarme : « J’espère que nous recevrons des renforts le plus rapidement possible afin que nous puissions remettre le processus de paix sur les rails ». Il semble que ces propos, pourtant inquiétants, n’aient trouvé aucun écho au sein de l’organisation des Nations unies. Le Conseil de sécurité et l’Union européenne ont refusé de fournir les renforts réclamés ! Dès lors, comment peut-on espérer que les troupes de l’ONU s’opposent aux « exactions graves contre des civils, y compris des exécutions sommaires » qui ont été rapportées, jeudi soir, 6 novembre, à la porte-parole de la mission de l’ONU en RDC. L’ONU, semble reproduire l’inertie et l’autisme qui ont permis les massacres du Rwanda. La leçon n’aurait-elle pas porté ? Pourquoi, cette insoutenable légèreté, dans quel but ?

Au fait , on comprend quand on se fait bander les yeux avec plus ou moins cinq mille dollars américains qu’on touche au Sénat sous le dos du peuple meurtri ! Nous y reviendrons avec large détail et revenons au margoulin politique Hyppolite Kanambe alias Joseph .

Tout ce sang coulé dans la culture africaine est symbole de libération et pour que cette dernière arrive au Congo de Kasavubu , il nous faut procéder par faire disparaître en supprimant l’existence du mal et le mal en soi c’est Kanambe alias Kabila , c’ est la seule solution rapide qui nous reste . et pour cela nous sommes dans l’obligation de marcher dans la convergence la plus absolue. Kabila doit partir et tous les moyens sont bons pour cela .

C’est alors qu’il ceserait de marmotter . Il fait notre honte et nous en sommes malades .

Plus vite serait le mieux !

Très chers Compatriotes , notre peuple est pris en otage par des gens audacieux , hardis, et téméraires , des personnes sans scrupules moraux ; d’intrigues et anormaux. Ils doivent subir le même sort que leur maître et nous devons nous en débarrasser.

Nous sommes convaincus que c’est pour bientôt la fin de ce système médiocre et corrompu installé en Rdc le pays de nos ancêtres .

Encore un peu de temps et c’est dans peu de temps .



JOSEPH KABILA ET SES ALLIES RWANDAIS OU D'AILLEURS EXPLOITENT LES RESSOURCES MINIERES CONGOLAISES


Pour comprendre de quoi il s’agit, suivons Jean-Philippe Rémy du journal Le Monde « Depuis 2006, écrit-il, le petit conflit du Nord-Kivu donnait l’impression de ne jamais devoir sortir des collines de la région. C’était mal se souvenir que les deux Kivus, Nord et Sud, bordés par le Rwanda, l’Ouganda et le Burundi, constituent la matrice des guerres régionales. Par deux fois, ces conflits ont commencé par l’éclosion de rébellions d’ambition apparemment locale avant que l’implication des pays voisins ne finisse par les transformer en guerres transfrontalières. En 1996, une insurrection de Banyamulenge, membres de la communauté tutsie du Sud-Kivu, avait été le prélude au premier conflit. Cela se passait deux ans seulement après le génocide des Tutsi par les Hutu au Rwanda, de l’autre côté de la frontière. Au Kivu, dans l’est de l’actuel Congo (alors appelé Zaïre), des camps de réfugiés hutus, ayant fui l’arrivée au pouvoir des Tutsi à Kigali, servaient de bases arrière aux "génocidaires" exilés qui comptaient revenir au Rwanda pour y "terminer le travail". Les Banyamulenge, Tutsi congolais, semblaient, eux aussi, menacés par les Hutu. Ils ont donc pris les armes au Kivu. Dans ce sillage a surgi un mouvement nébuleux, appuyé par des pays voisins, qui allait entamer une conquête du pays et chasser le maréchal Mobutu du pouvoir, à Kinshasa, en 1997. Deux ans plus tard, un phénomène similaire se reproduit. En 2006, le Tutsi Laurent Nkunda, fonde le Congrès national pour la défense du peuple (Cndp), parrainé par le Rwanda. Il s’agit de se battre pour chasser les rebelles hutu de leurs bases arrière au Kivu. Le Cndp se réarme à cet effet, et se renforce en ouvrant notamment des centres d’entraînement. Mais le chef de la rébellion tutsi semble élargir ses ambitions. Début octobre, il affichait ainsi sa volonté de libérer le peuple du Congo ».

Le « général » Laurent Nkunda n’est pas un inconnu. C’est, écrit Michel Collon, un Tutsi congolais engagé dans l’armée de Paul Kagamé (actuel président du Rwanda) en 1994 dans sa lutte contre les génocidaires Hutus. En 1998, il rejoint au Congo la « rébellion » pro-rwandaise. Il a commis plusieurs crimes de guerre avant d’être intégré dans l’armée congolaise, selon les accords appliqués à partir de 2003. Mais, en 2004, il entreprend une mutinerie contre le gouvernement congolais. Le Rwanda nie appuyer Nkunda. (..)Laurent Nkunda est financé par des hommes d’affaires proches de Paul Kagame tels que les frères Alexis et Modeste Makabuza et l’homme le plus riche du Rwanda, Tribert Rujugiro. Il est approvisionné en hommes et en matériel par l’armée rwandaise à travers l’Ouganda, allié du Rwanda durant la guerre d’agression contre le Congo en 1998-2003. Les richesses locales du Kivu permettent aux milices, au Rwanda et à l’Ouganda de financer l’instabilité et l’insécurité. Cette situation n’est possible que grâce à la complicité tacite de la Monuc (Mission des Nations unies), des États-Unis et des Etats membres de l’Union européenne.(4) « Derrière ces ambitions politiques se profilent surtout les tensions entre le Congo et le Rwanda. (...) Mais le Kivu - tourné vers l’est plus que vers la lointaine Kinshasa, gorgé de richesses minières et de terres arables qui font défaut à ses voisins - aiguise les appétits. Le Rwanda et l’Ouganda, par lesquels transitent les minerais exploités au Kivu, rêvent toujours de l’inclure dans leur zone d’influence ».(3)

Nous y voilà ! Les guerres ethniques ont probablement joué un rôle. Ces guerres ont été attisées par le colonialisme qui alimente les deux camps en armements contre des promesses d’exploitation de richesse comme au bon vieux temps des colonies sauf que tout se fait à distance. L’analyse suivante nous permettra d’y voir un peu plus clair. « D’un pillage à un autre...Qu’y a-t-il de changé depuis le bon roi Léopold ? Que se cache-t-il derrière votre téléphone portable, votre ordinateur ou votre console de jeu ? Une guerre. Une guerre terrible, qui s’éternise. Une guerre parmi les plus meurtrières que l’on ait connues. Une guerre qui apparaît le plus souvent, pour le grand public, comme de type tribal, où il n’y aurait rien à comprendre, sinon des affrontements interethniques aveugles, comme l’Afrique a pu en donner maints exemples. C’est tout juste si l’on n’en reste pas aux images d’Epinal coloniales ou postcoloniales. Et puis, c’est si loin... »(5)

« Une guerre pour des matières premières dont regorge le Congo. Une guerre que se livrent un grand nombre de multinationales, qui bénéficient de la complicité de leurs pays d’origine. La plus prisée est le fameux Coltan, un minerai indispensable à la production des téléphones mobiles, de certains ordinateurs et des consoles de jeux. Une guerre par chefs locaux interposés, dont les conséquences sont vécues dramatiquement par la population (cortège d’atrocités, personnes déplacées), dans un Etat qui ne fonctionne plus, dont on comprend pourquoi son dysfonctionnement peut profiter aux groupes prédateurs qui mettent en pièces les richesses de ce pays, qui a tous les atouts pour être un des pays les plus riches d’Afrique, mais dont certains groupes ont intérêt à prolonger la déshérence. Comme souvent pendant la belle époque de l’ère coloniale, on attise les rivalités latentes, on encourage en les armant les groupes rivaux, on entretient les conflits, on souffle sur les braises, on trouve de l’aide auprès des chefs de guerre locaux, on les instrumentalise, on paie bien, on crée un rideau de fumée. On entretient à grand frais une force onusienne qui ne sert à rien. Ainsi, tout le fructueux commerce de matières premières peut mieux passer inaperçu derrière la scène des passions déchaînées et les horreurs qui vont finir en dernière page de la presse quotidienne ».

Une commission d’enquête mandatée par les Nations unies vient tout de même de dénoncer les liens entre le commerce de ce minerai et les importations illégales d’armes dans la région. Voici ce que disait déjà, le jour de Noël 1999, l’évêque de Bukavu, Mgr Kataliko : « Des pouvoirs étrangers, avec la collaboration de certains de nos frères Congolais, organisent des guerres avec les ressources de notre pays. Ces ressources, qui devraient être utilisées pour notre développement, pour l’éducation de nos enfants, pour guérir nos malades, bref, pour que nous puissions vivre d’une façon plus humaine, servent à nous tuer. Plus encore, notre pays et nous-mêmes sommes devenus un objet d’exploitation. Tout ce qui a de la valeur est pillé, saccagé et amené à l’étranger ou simplement détruit. Les impôts collectés qui devraient être investis pour le bien commun, sont détournés ».