Sunday, February 24, 2008

JOSEPH KABILA , L'IMPOSTEUR RWANDO-TANZANIEN, TRES SOUCIE ET MALHEUREUX DE CE QUI PEUT LUI ARRIVER


Par Willy Fram Mbiyyah (Toutou)
Udpsonline

Depuis un certain temps, le temps en soi est entrain de courir et point n’est besoin de l’arrêter.
Que disons-nous donc ? Nous sommes entrain d’assister lentement et sûrement à la fin de règne de l’imposteur rwando- tanzanien en la personne de Hyppolite Kanambe alias Joseph Kabila et cela exactement comme nous l’avions prédit en tant que visionnaire il y a de cela quelques mois .

Depuis un moment, le petit analphabète devenu chef de l’Etat au grand Congo par la seule volonté des faiseurs des rois a peur de tout :

-Il a peur de l’avion parce qu’il se dit qu’il peut être enlevé, détourné et tué pendant le vol.
-Il a peur de sa voiture parce que l’engin en soi ne lui présente pas de garanties adéquates pour sa sécurité et aussi parce que se dit-il, l’engin peut exploser à tout moment surtout qu’il est aujourd’hui dans le collimateur de ceux- la même qui l’ont fait roi il y a peu.
-Il a peur de son entourage parce qu’il ne sait pas de quelle direction pourra lui venir la balle qui logera dans son crâne pour enfin, non seulement mettre fin à son règne mais aussi à ses jours sur la terre.
-Il a peur même de sa résidence où il loge parce que se dit-il que tout est possible et réuni afin que ce qui était arrivé à M’zée Laurent Désiré Kabila un certain 16 janvier 2001 puisse aussi lui arriver un de ces quatre matins.

Voilà ce qui explique dernièrement, les communiqués très laconiques et épidermiques de sa cour par le biais, soit de son porte parole le malheureux applaudisseur Kudura Kasongo, soit de son directeur de Cabinet le très sympathique de gains faciles, nous avons cité le fameux Raymond Tshibanda, signifiant pourquoi leur Chef (Kanambe alias Kabila) ne s’est pas déplacé pour telle ou telle rencontre internationale.

Il n’y a pas longtemps , les bruits ont couru, pas du moins tendres, dans toute la capitale parlant d’un mauvais sort qui serait arrivé à l’enfant soldat ( Kanambe ).
-D’aucun ont parlé d’une blessure qu’il aurait reçue à son bras causée par une balle . - D’autres ont même parlé de sa mort !

A notre grande surprise, un jour pendant le journal de 20 heures à la RTNC (la très Kabiliste radio télévision du Congo appelée abusivement la radio télévision du peuple, nous avions vu une dame (ministre provinciale) faire aussi un communiqué laconique disant en confirmant que les rumeurs couraient dans toute la ville de Kinshasa sans alors préciser le sens même dedites rumeurs.

Nous l’avons vue et entendue assurer la population Congolaise que les propagandistes des rumeurs étaient déjà entre les mains des forces de l’ordre qui devaient au moment opportun présenter ces inciviques à l’opinion :

Jusqu’au moment où nous couchons ces quelques lignes, nos yeux n’ont pas encore vu les personnes incriminées et tous les congolais sont impatiemment dans l’attente.

Quand notre confrère Amba Wetshi a parlé des ces rumeurs qui couraient effectivement à tout vent ; les malheureux Kabilistes , de l’Orient comme de l’Occident l’ont traité de tous les maux sans qu’ils nous disent ce qui s’est réellement passé dans leur cour . Nous comprenons leur émotion et leur assurons que bientôt, ils connaîtront tous le même sort que celui réservé à leur maître à penser à moins d’un revirement à grande vitesse de leur part.

Depuis un moment, les cinq chantiers de Kanambe étaient déjà mis dans les oubliettes. Kanambe et tous ses pions étaient dans la tourmente la plus totale. Ils ne savaient encore quoi dire à notre peuple.
Mais voilà ; comme le ridicule ne tue pas au Congo, et comme par un sursaut maladroit, ils promettent encore au même peuple monts et merveilles d’ici fin mars et début avril 2008. Ils disent que c’est maintenant où jamais le début effectif des fameux cinq chantiers. (Il y a de quoi rire !!!).
Pourtant chers compatriotes, rien ne va au Congo de Lubaya, tout est détruit, il n’ y a pas d’électricité, pas d’eau potable, pas de routes .Les fonctionnaires de la république comptent plusieurs mois d’arriérés, les magistrats aujourd’hui sont en grève et bientôt sera le tour des professeurs de l’université. La prise en charge des enseignants par les parents a repris avec force sous les narines des ces passifs et moribonds gouvernants. Le franc congolais est descendu aux enfers face au dollar et à l’euro. Le panier de la ménagère est quasi inexistant et vidé de son contenu

Les hôpitaux de l’Etat sont en carence des médicaments pour les malades et les morts se comptent par dizaine dans ces hôpitaux chaque jour qui passe par manque des soins appropriés au patients. Quand il pleut, le Congo et particulièrement Kinshasa la capitale est comparable à un grand étang ; Kinshasa est inondé et étouffé par l’eau par faute des canaux.
Bref, l’Etat congolais n’existe pas. Les congolais ne se retrouvent pas dans leur propre pays.

Il n’ y a que Omer Nsongo die Lema, le très kabiliste journaliste du magasine l’Avenir qui voit du blanc partout où les congolais dans la grande majorité voient du noir.

Il n’y a que lui (Nsongo) qui tape les mains et pieds pour le travail incomparable abattu par son chef Kanambe alias Kabila et son gouvernement des inconscients.

Pour reprendre ses propres termes , Il n’ y a que lui (Omer die Lema) qui voit les efforts gigantesques déployés par Kanambe alias Kabila son grand maître et Gizenga et enregistrés dans plusieurs domaines allant de la politique à l’économie en passant par le social.

Nous le comprenons et savons que c’est sa manière d’expliquer les petites miettes qu’il ramasse en dessous de la table de son petit chef (Kanambe). Pitié !
Son ventre l’intéresse beaucoup plus que son pays. Ça aussi nous le savons. Nous lui souhaitons bonne chance.

Ce qui étonne plus, c’est le fait de voir qu’il y a encore de ces Congolais qui n’ont pas pitié de leurs frères et sœurs que le pouvoir d’occupation de Kanambe est entrain d’exterminer. Ils disent que ce n’est pas leur problème parce qu’exactement ils trouvent leur compte dans ce pouvoir et bouffent dans son assiette.

L’exemple du dernier Maréchal SeSe Seko ne leur sert jamais de grande leçon ?

En plus de cela, tous ces traîtres et collaborateurs de Kanambe oublient que leur petit patron et son règne appartiennent au passé.
Voilà ce que nous leur disons de plus : « eh bien, chers messieurs et dames, comme le rêve est permis, alors continuez à rêver ». Mais sachez qu’il sera trop tard pour vous.

Toutefois, nous demandons à tout notre peuple de veiller et d’être toujours sur ses gardes car la libération de notre nation est pour bientôt.

Tenons toujours bon.


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