Wednesday, January 23, 2008

LA JUDAISATION DES TUTSIS: IDENTITÉ OU STRATÉGIE DE CONQUÊTE

LA JUDAISATION DES TUTSIS: IDENTITÉ OU STRATÉGIE DE CONQUÊTE

Soumis par FORCAS le Mar,
Congo (RDC) | Paix et démocratie

I. LA JUDAISATION DES TUTSIS: IDENTITÉ OU STRATÉGIE DE CONQUÊTE
Depuis un certain temps, une nouvelle identification sociale est née chez les tutsi du Rwanda, du Burundi et de l'Ouganda. La réclamation d'une identité juive, les tutsi hébreux ( Israéliens, peuple de Dieu, peuple saint, etc.. sont les différentes dénominations qu'ils s'attribuent )fait certainement son bonhomme de chemin et de façon non hasardeuse. Elle coïncide avec les causes et engins des guerres qui bouleversent la région de grands-lacs africains.
Au regard simpliste, cette idée renvoie à la méfiance.
A l'observation minutieuse, elle suscite une série de questions fondamentales aux malheurs de l'Afrique centrale.
A la lumière des révélations récentes du journal canadien 'National Post', sur les © 2008 Sankurunewsvrais déclencheurs du génocide rwandais, qui pourtant ont été couverts pendant plus de deux ans par l'ONU, la conspiration internationale de Kagame dans la guerre en Afrique centrale ne fait plus de doute. Pour les présidents rwandais, burundais et ougandais, tous les moyens sont bons pour conquérir le cœur de l'Afrique. Le processus de la judaïsation des tutsis par rapport aux guerres qui secouent la région des grands-lacs africains en est un.
Presque deux ans après le renversement de la dictature de Mobutu au Congo, quatre ans après l'assassinat de Melchior Ndadaye au Burundi, quatre ans après l'assassinat du président Juvenal HABYARIMANA, comme au hasard, " Jerusalem Post ", dans son édition du 23 novembre 1998, déclarait officiellement pour la première fois ce qui circulait en rumeur depuis un certain temps: " Nous lançons un appel à Israël et à la Communauté Internationale pour condamner et prendre des actions contre toute violence anti-israélite, perpétrée par les non-israeliens à travers l'Afrique, sur plus de 500 000 Tutsi-Hébreux Israéliens au Rwanda ".
Cette révélation allait donner un autre aspect certainement moins apparent mais très important à la crise qui secoue
l'Afrique centrale et en particulier le Congo.
Mardi 11 mai 1999, le journal canadien National Post publiait à la page 17, un grand article sur les Lemba, un autre peuple noir, qui allègue certifier après analyses que selon les gênes sanguins qui déterminent l'hérédité, les Lemba seraient des juifs noirs descendants de Aron.
L'article cite David B. Goldstein, un juif, généticien à Oxford (Angleterre): ' Le problème est qu'il y a eu des mixages avec les populations hôtes, ce qui a obscurci leur ascendance '.
Cette façon de définir les termes 'mixage et population hôte' a une connotation raciste. Car pour lui, certains ancêtres sont des vrais ancêtres et d'autres ne le sont pas.
II. UNE CONFERENCE DANS LA CONFIDENTIALITE
Dimanche 10 octobre 1999, une réunion est annoncée à Bruxelles dans la plus grande discrétion: c'est la conférence de Havila.
Le lieu aménagé pour la conférence est le prestigieux Centre de Séminaires de l'Hôtel «Mercure», situé en 'bordure du cadre exquis du Parc de Lauzelle, dans le Brabant Wallon Belge'.
Pour bien et rapidement situer le lecteur, mentionnons que 'Havila' est le mot attribué à la région des grands-lacs par ce mouvement de la judaïsation des tutsis.
La conférence 'inaugurale des activités académiques de l'Institut de Havila' s'annonce par la judaïsation de tous les tutsi: 'Sous le signe des armoiries hébraïques de Havila: l'Etoile de David, caractéristique des États modernes d'Israël et du Burundi; les Tambours de Salomon dont les Souverains shebatiques de Havila sont les gardiens, autour des Sources les plus méridionales du Fleuve sacré des Pharaons (le Pishon biblique ou Nil); un fragment des Hassarad Hadivarim (les Dix commandements de Moise) qui sont la marque de l'Alliance mosaïque et la figuration de la «mémoire perdue» des peuples hébraïques de Havila'.
III. L'INSTITUT DE HAVILA
Un 'Institut des GRANDS-LACS' existe depuis un certain temps et regroupe dans la plus grande discrétion les grands intellectuels tutsis à travers le monde. Dans les milieux tutsis, il s'appelle 'Institut de Havila' et rassemble pas moins de sept centres de Recherche, d'Intervention et de Rayonnement, implantés sur presque tous les continents. Ces centres ont l'objectif commun de restituer et de faire revivre la «mémoire perdue» des douze codes hébraïques qui ont caractérisé, depuis des millénaires, la civilisation des peuples kushitiques de l'Abyssinie Méridionale (Rwanda, Burundi, Buha, Ankole, Buhavu, etc.) et gardiens des Mines du Roi Salomon'.
Chacun de sept centres de l'Institut de Havila a sa mission.
Selon l'importance de sept centres de l'Institut de Havila, mentionnons:
1) Le Centre «GEDEON»:Observatoire de la situation
sécuritaire et stratégique des peuples shébatiques de Havila. Il fait régulièrement rapport à l'Institut afin que les membres de Havila s'habituent à avoir les pieds sur terre et porter l'œil sur les "contradictions" de l'histoire présente, faites de crises transitionnelles, d'affrontements d'armes.
2) «Le Centre «ROI SALOMON», s'occupe de l'Analyse
économique et financière dans Havila.
'Comme par hasard, devons-nous rappeler des expressions véhiculées par les promoteurs de cette conquête en Afrique centrale: "Mines du roi Salomon" (le Kivu), les 'Pipelines du Roi Salomon' (projet en cours avec le gouvernement Kabila pour offrir l'eau du Fleuve Congo à l'Israël).
En essence, comme pour le cas du nom "Mulenge" dans la guerre actuelle qui a commencé au Kivu, la mission que se donne 'le Centre Roi Salomon' de l'Institut Havila, soulève la curiosité de savoir ce qui restera aux Congolais en tant que peuple.
3) Le Centre «HAKIM» rassemble des spécialistes en Médecine, en sciences naturelles, en Écologie, chargés d'étudier les conditions Ecosystémiques dans lesquelles ont émergé les civilisations anciennes de Havila, le mode de vie et d'alimentation des peuples de Havila, qui en ont fait dans le temps, des peuples centenaires comme les caucasiens.
4) Le Centre «MULENGE» a la mission de maîtriser ce qu'on appelle les Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication.
Il doit rassembler la documentation, les pièces d'archives, relatives à Havila, mais aussi publier, dans les Annales de Havila des dossiers documentaires sur toute question jugée cruciale par la direction de l'Institut.
Le Centre d'«ISHMGO», qui appuie le Centre «MULENGE», s'occupe notamment des questions logistiques. Il est chargé entre autres de collecter des pièces de Musée caractéristiques des peuples anciens de Havila, d'organiser des manifestations culturelles et folkloriques spécifiques aux civilisations de Havila, de faire fonctionner la «Fabrique d'Ishango» au sein de laquelle des artisans spécialistes reconstituent l'art et l'artisanat salomonique de Havila.
5) Le Centre «TECHOUVHAH» s'occupe de la connexion mémorielle des peuples shébatiques du Nil Blanc : Havila
(GRANDS-LACS) et du Nil Bleu : Guihon (Éthiopie, Somalie, Érythrée, Ogaden, Ghana, Nigeria), etc..
6) Le Centre «SACEGA»: Souvenir de l'Institution du bâton de justice et de gouvernement dans Havila. En Kirundi ce bâton "Intahe" rappelle "la déconnection physique et mémorielle des peuples de Havila par rapport à la mémoire de l'antique Israël, dont ils gardent néanmoins les codes salomoniques et mosaïques, coules dans des traditions multimillénaires, jusqu'ici épargnées de toute tentative
de décodage systématique".
7) Le Centre «BILKIS-REINE DE SABA» qui avait organisé cette conférence, est chargé de l'Analyse et de l'Intervention politique et diplomatique pour les questions relatives au destin des peuples de Havila;
Pour les tutsis, la prophétie a ses caractéristiques: pas le retour historique vers Israël 'mais le retour vers l'Israël prophétique que figure la «Techouvha», l'espérance de la réunification des "Tribus perdues d'Israël " qui est l'espérance mystique centrale du peuple d'Israël, dispersé aux quatre coins de la terre, depuis la destruction du premier Temple et la déportation à Babylone (-586), qui
marque la dispersion dans les Nations.
Les sources de GRANDS-LACS CONFIDENTIELS indiquent que
les grands intellectuels tutsis ont célébré le 'troisième
millénaire', par 'la réunification physique des tribus perdues de Havila, de Guihon et du Fouta Djalon'. Un 'gigantesque festival' était tenu pendant 10 jours (du dimanche 24 octobre au mardi 2 novembre 1999) à AGULERI,
dans l'Igboland (au Nigéria). Période conforme à la fête juive de la sortie de l'esclavage d'Égypte.
IV. LES ORGANISATIONS
Retenons quelques noms: la 'African Hebrew Organisation', la 'King Solomon Sephardic Federation (KSSF)' et la diaspora juive rassemblée dans le 'Groupe industriel RIVKIN TECHNOLOGY'.
V. LA BIBLE, LES MYTHES ET LES FAUSSES PROPHETIES
Vendredi, le 18 septembre 1998, dans l'article 'L'or du
Kivu, engin caché du conflit en RDC', Agence France Presse
écrivait: 'Une légende vivace dans l'est congolais situe les mines d'or du roi Salomon dans cette zone' (Kivu), territoire qui alors était et qui reste encore sous le contrôle jaloux de Paul Kagame, le président rwandais de
facto. Aujourd'hui comme alors, le pillage de l'or du Kivu bat son plein.
Une autre version veut que ceux qui appuient les tutsis dans la guerre de conquête au Congo-expliquent l'invasion
actuelle au Congo par la Bible. A la conférence de Havila, quelques versets bibliques sont lus: le livre d'Exode 4, 17; 17, 5; 3,10; 3, 16-20 et 17, 5-7.
Selon eux, 'la guerre actuelle de conquête tutsie dans
la région de grands-lacs, 'HAVILA', et surtout au Congo est un fait prophétique, une volonté de Dieu d'Israël '. Et pour preuve, disent-ils, le livre biblique d'Esaie, chapitre 18, verset 1-2 est leur appui.
Ici on parle des 'peuples de grandes tailles' (les tutsis) qui hériteraient le pays situé entre deux fleuves au sud de l'Éthiopie (le Congo).
Cette région serait donc l'actuelle région des grands-lacs africains ou simplement en termes tutsis-hébreux: 'la terre
sacrée de havila', 'la mémoire perdue de douze codes hebraïques des peuples kushites de l'Abyssinie Méridionale (Rwanda, Burundi, Buha, Ankole, Buhavu, etc..)'
VI. UN NOM NOUVEAU, L'EMPIRE HIMA-TUTSI
Selon un document confidentiel parvenu à GRANDS-LACS Confidentiels (Glac), les ambitions d'un empire hima sont plus réelles que nos lecteurs ne peuvent s'imaginer. La région de grands-lacs a une nouvelle appellation:
'HAVILA', ou 'la terre sacrée de Havila' ou encore 'la mémoire perdue de douze codes hebraiques des peuples kushites de l'Abyssinie Meridionale (Rwanda, Burundi, Buha, Ankole, Buhavu, etc..)
Géographiquement, partant de cette derniere citation, la terre sacrée de Havila se dessine comme suit:
- Rwanda: l'actuel Rwanda, pays de mille collines avec capitale Kigali;
- Burundi: capitale Bujumbura;
- Buha: du nom Baha ou Muha (au singulier), peuple de la
Tanzanie occidentale. Par extension, Buha désigne la Tanzanie.
- Ankole: région de l'ouganda occidental, habitée majoritairement par les Banyankole, tribu à laquelle le Président Museveni s'identifie, par trichement;
- Buhavu: Region habitée par les Bahavu c'est-à-dire l'actuelle région du Kivu de la République démocratique du Congo. Le nom du chef-lieu du Sud-Kivu, 'Bukavu' serait une déformation du mot Buhavu.
L'Empire des 'tutsis-hebreux', 'la terre sacrée de Havila' (la région des grands-Lacs africains) englobera donc les pays suivants: Rwanda, Burundi, Buha (Tanzanie), Ankole (Uganda), Buhavu (Kivu, province orientale du Congo), etc..
VII. LES TENORS DE LA CONFERENCE
Que le lecteur se démystifie de la légèreté de cet empire hima-tutsi. Pour faits, les maîtres à penser de cet empire sont des personnes hautement instruites qui ont tissé des relations avec certains groupes juifs et plusieurs partenaires occidentaux, qui leur permettront de réaliser leur projet au prix des richesses abondantes dont regorgent ces États.
A titre d'exemple, nos sources indiquent que depuis la prise de Kindu en RD Congo, en octobre 1999, Paul Kagame a exporté au Rwanda "950 tonnes de cassitérite traitée en laboratoires, 280 tonnes de colombo-tantalite (pillées a la SOMINKI), 11000 tonnes de maïs, 4500 fûts d'huile de palme; de quoi se nourrir suffisamment, consolider les alliances et acheter des nouvelles armes pour massacrer les Congolais".
Parmi les grands ténors de l'Institut de Havila, citons entre autres:
1. Jean BWEJERI: Professeur, universitaire de haut niveau, connu dans le monde de l'enseignement et de la recherche depuis une quinzaine d'années. Formé à l'École de la Nouvelle Linguistique qui a revêtu les formes de la Pragmatique linguistique, de l'Analyse du Discours et de la Nouvelle Communication, il consacre actuellement le maximum
de son temps et de ses compétences à la recherche post-universitaire, orientée vers la trans-disciplinarité en sciences humaines, ratissant d'une traite les champs de la critique littéraire et textuelle, de la Nouvelle linguistique, de l'Analyse du Discours, de l'Histoire
ancienne et moderne, de l'Anthropologie africaine, de
l'Analyse sociologique et politique, de l'épistémologie
contemporaine des sciences sociales, des études bibliques, de la philosophie générale et africaine.
2. Maître Matthias NIYONZIMA: " Avocat au Barreau de
Bruxelles.
Docteur en Droit de la KUL et Lauréat de la prestigieuse Académie de Droit International de La Haye.
Ce brillant avocat enseigne actuellement à l'Université de Nantes. Il est spécialiste des questions relatives au Droit Africain Comparé, au Droit des Affaires et au Droit du Commerce International.
3. Capitaine CIRAMUNDA Richard-Delvaux: Coordonnateur
du Centre GÉDÉON pour la Stratégie et la Défense dans Havila.
Ce jeune officier est spécialiste en Criminologie et en Études de stratégie militaire. Il a obtenu ses diplômes universitaires et militaires à l'École Royale Militaire de Bruxelles et a choisi de mettre ses capacités d'analyse et d'engagement à la disposition de l'Institut de Havila, qui a urgemment besoin de comprendre et de faire comprendre
au monde International ce qui se passe sur le terrain,
en termes de stratégies géopolitiques et d'opérations militaires.
4. Monsieur Gaspard KIROMBO: " Lauréat de la Faculté des Sciences Politiques et Sociales de l'UCL, et diplômé des Sciences Religieuses de la même Université, Monsieur KIROMBO avait accepté d'être Modérateur de cette Conférence inaugurale.
5. Le même document confidentiel, mentionne aussi 'la
diaspora juive rassemblée dans le Groupe industriel RIVKIN
TECHNOLOGY'.
D'autres sources nous indiquent que parmi les conseillers
stratégiques pour l'implémentation de l'empire Havila, on retrouve des personnalités comme Kimenyi Alexandre(Professeur, américain d'origine tutsi-rwandaise), Déogratias Bugera (ancien réfugié rwandais au Congo passe pour un munyamulenge), Bizimana Karahamuheto (cousin de Kagame, originaire du Rwanda, un autre munyamulenge,
Jerome Gapangwa Nteziryayo (Eveque d'Uvira, Docteur en
Histoire Ecclesiastique) et quelques hommes d'affaires tutsis.
VIII. LES FAITS DE LA GUERRE
Le prestigieux journal tanzanien 'Daily Mail', dans son édition du 14 janvier 1999, sous le titre de 'George Bush, Museveni own shares in Congo mines' publiait un article dans lequel il pointait du doigt un ancien général de l'armée israélienne, David Agmon, comme l'un des hommes qui pillent les minérais congolais dans le territoire congolais occupé par le Rwanda.
Les sources fiables ont indiqué à GRANDS-LACS Confidentiels que les armes qui ruinent le Congo viennent de la Roumanie,
des États-Unis et d'Israël. Elles sont envoiyées au Rwanda et à l'Ouganda sous prétexte de 'coopération bilatérale militaire' avant d'être acheminées au Congo par le Rwanda ou l'Ouganda, pour la conquête de l'espace et de l'or.
Les mêmes sources indiquent que certains dignitaires du gouvernement israélien fournissent à Museveni et Kagame du matériel militaire.
Panafrican News Agency (PANA), dans un article daté du 27
janvier 2000, venait encore renforcer ce qui était alors repris comme légende par AFP.
Annonçant un projet consistant à drainer l'eau du fleuve Congo pour l'offrir gratuitement aux Israéliens, PANA révèle que le projet prendrait le même nom juif qui véhiculait les mythes des minérais au Kivu.
Le projet de l'eau du fleuve Congo s'appellerait: 'les pipelines de Salomon'.
Ce projet ambitieux, mettant ensemble certains congolais de la diaspora et des hommes d'affaires américains, est une
affaire qui ne convainc que les initiateurs.
A la lumière des origines de la guerre actuelle au Congo et les conséquences sur sa population, est-il approprié que quelques ministres du gouvernement en guerre, décident sans consulter la population, d'une question aussi capitale
et importante que l'eau du fleuve Congo, question qui
implique toute la vie d'une nation pendant plusieurs générations à venir?
En toute bonne foi, le Congo n'a pas vraiment de spécialistes environnementaux et hydrologues qui peuvent démontrer hors de tout doute que le projet 'Salomon Pipeline' n'aura pas d'impact sur le Congo dans les générations futures. Par contre, ceux qui en profiteront n'auront pas de peine à faire avaler aux Congolais qu'il
n'y aura aucun danger ou impact environnemental. Dans
les pays organisés, une question comme celle de 'Salomon
Pipeline' aurait nécessité un referendum pour recueillir l'opinion populaire.
Au bureau de Westrac (la compagnie du projet 'Salomon
Pipeline'), on se contente d'expliquer cela avec une extrême légéreté simplicisante: 'C'est l'eau qui va ramener la paix au Congo' (car Salomon signifierait paix).
C'est un projet qui va transformer le Congo, moins que
ne l'ont fait ses fils et filles pendant 40 ans passés; avec la construction des 'églises, mosquées, hôpitaux, stationnements, parcs, logements, centres commerciaux et écoles'!
Congolais, ouvrons tous l'oeil.


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